lundi 30 avril 2012

" les détenteurs du pouvoir qui ont tendance à en abuser " aurait dit Alain !. Si le contrôle parlementaire avait été plus sérieux, la France serait en bien meilleure posture !.

Dimanche 6 mai 2012, citoyennes et citoyens français, veuillez aller voter massivement, la République Française a besoin de vous toutes et de vous tous !. Quand bien même, les deux candidats restants, ils ne représentent pas vos intérêts ; ce sera l'occasion unique de faire la promotion pour la reconnaissance du vote blanc !.



Politiques et médias de tous les horizons et de tous bords, s'il vous plaît, veuillez ne pas rejeter vos erreurs et vos incompétences économiques et financières sur le peuple français qui, lui, il n'attend que de pouvoir vous faire confiance, à la condition que vous soyez un peu plus honnête dans la teneur de vos propos et, surtout beaucoup plus vertueux dans le domaine des finances publiques.

L'Allemagne ne pourra pas toujours tirer la couverture à elle, sinon elle va tuer sa poule aux oeufs d'or [ les pays de la zone, son premier client ]. La naissance d'un pacte de croissance européen s'avérerait être la panacée ?. Permettez-moi d'en douter fortement !.
Avec la misère et le chômage qui explosent en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France, etc, ce sont des gens désignés par le tandem Merkel-Sarkozy qui appartiennent à la BCE et au FMI. Ce sont eux qui imposent leur diktat aux citoyens des pays de la zone euro !.
«Grande Dame» de France, tu as été mise en transit pour cause d'abus de pouvoir de la BCE, du FMI et, des parlementaires français !. En 2008, la majorité de tes députés et de tes sénateurs, ils n'ont eu aucun remord d'avoir bafoué le vote de tes enfants de la République, de 2005 !. Aujourd'hui, notre France, toutes ses citoyennes et tous ses citoyens, ils sont devenus de simples exécuteurs d'ordres, de par la volonté des Allemands !.

A tous ces privilégiés qui soutiennent le chef de l'Etat, ils devraient relire ce qui suit : 
Comment puis-je porter un jugement nuancé sur le quinquennat de Nicolas Sarkozy, même en mettant de côté la crise monétaire, qui se serait invitée, seulement, à partir de 2008 ?.

A beaucoup y regarder de très près, je ne trouve aucun résultat satisfaisant de la politique menée par François Fillon et ses gouvernements successifs. Emplois, politique industrielle, politique extérieure, taxes et fiscalité en croissance, livret A en récession depuis plus de 3 ans, baisse du pouvoir d'achat, assurances vies en unités de compte en chute libre, la valeur des actions du CAC 40 divisée par deux, en 5 ans, une réforme avortée des retraites qui a oublié de faire participer les plus favorisés, l'augmentation de l'insécurité et l'inflation des coûts des produits de première nécessité, etc, etc.... 
A toute cette panoplie, il faut rajouter un climat délétaire entretenu par nos gouvernants. Les magouilles et les affaires, elles, au moins, elles ne connaissent pas la crise, ni la récession économique !   



" Définitions de l'Etat


L’Etat est un organe juridique, plus ou moins centralisé, qui impose des normes et organise la société. Dans un sens plus étroit, l’Etat est une entité artificielle composée de fonctionnaires assujettis au gouvernement qui leur ordonne le droit public. L’Etat dispose d’un grand pouvoir, mais qui dans un Etat de droit sont limités par les textes, et essentiellement par la Constitution. Son pouvoir de droit est complété par son droit de recourir à la violence. La force utilisée par l’Etat est légitime car elle s’appuie sur le droit ; ainsi il détient les forces de police, armées dont lui seul possède le monopole. Selon Max Weber, l’Etat a ainsi le monopole de la violence physique légitime.
L’Etat dispose d’un territoire, d’un gouvernement et d’une population qui lui est propre. C’est ce que nous allons expliciter.......


Il m'a fallu attendre de recevoir un article d'Algérie paru dans le Quotidien d'ORAN pour arriver à cet article très bien fait paar un journaliste Mourad Benachenhou. Le lien de l'ensemble de sujet traité se trouve en fin de page. 

'Hommes de Pouvoir ou Hommes d'Etat ? Le Choix des Despotes'


Le chef d'Etat : homme de pouvoir ou homme d'Etat ?

« Les résolutions d'un homme aux objectifs confus ne peuvent être authentiques » (Al Mutannabi)
« Qu'elle soit clairement reconnue ou soigneusement dissimulée, l'ambition personnelle est le moteur essentiel de toute action d'une personne visant à assumer le pouvoir suprême dans un pays, quelle que soit la voie qu'elle choisit ou qui lui est ouverte pour y accéder.
[....]
....Un homme politique sans ambitions personnelles» est aussi paradoxale que l'expression : «un avion qui ne vole pasMourad Benachenhou
[....]
Nul Etat, c'est-à-dire cet ensemble politique qui se résume en une nation, un territoire, une histoire, une culture, une langue, reconnue par la communauté internationale, ne peut se passer d'un chef d'Etat. Peu importe le moyen par lequel cet homme accède à cette position, à laquelle aspire tout homme politique : que ce soit par un coup d'Etat ou en respect des mécanismes définis dans la Constitution nationale de l'Etat en cause.

Une telle position donne à l'homme qui l'assume le contrôle de toutes les ressources de la collectivité nationale : ressources humaines, ressources naturelles, ressources financières [.....]
« L'abus de pouvoir est partie de la nature humaine, tout comme la respiration, et tout homme détenteur d'un pouvoir a tendance à en abuser, [....]. Plus le pouvoir est étendu, plus les occasions d'en abuser sont multiples. » [....]

«....Si puissant soit-il, si convaincu soit-il de la nature quasi-surnaturelle des qualités qui l'ont conduit au pouvoir, le chef d'Etat qui perd les repères que lui donnent sa société, en constante tourmente comme toute société humaine, est un homme dont le pouvoir effectif, qui va au-delà de son pouvoir institutionnel, s'effrite avec le temps jusqu'au point où il se trouve contraint et forcé d'abandonner sa position ou de faire retraite honteuse face aux pressions de la masse irrésistibles, du mouvement collectif de rejet de sa politique et de ses fondements philosophiques.

Dans un tel cas, même les forces de l'ordre, si disciplinées et si compétentes fussent-elles, ne constituent plus un barrage infranchissable contre la masse de ceux qui ne veulent plus d'une stabilité articulément maintenue au profit d'une mince minorité, et choisit l'anarchie, malgré les multiples souffrance qu'elle crée. ...» . Source Mourad Benachenhou - Archives huffingtonpost.fr

Paru sur le Quotidien d'Oran du Jeudi 10 Mars 2011



Courriel : fevrieralain@hotmail.fr

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Mr Février vous me copierez 500 fois le mot "délétaire" sans fôte.