samedi 21 janvier 2012

On ne nous dit pas tout !, 5 000 milliards d'actifs toxiques, le PIIGS, article 24 FESF, médiocrité de la campagne présidentielle, mensonges....


    Où allons-nous ?. Une rationnalité recherchée pour comprendre la situation dramatique des pays de la zone euro-mark !. Calquer sa politique sur le modèle américain, voire sur le modèle allemand, c'est une hérésie économique et sociale. Le système bancaire américain fonctionne normalement, la banque centrale n’est pas obligée de se substituer aux marchés comme dans la zone euro.
...La monétisation de la dette ? - un couple Franco-Allemand au bord de la rupture ? - La réforme des traités européens, du lobbying Sarkozyste ?. Chacun des pays, hors euro-zone, cherche à protéger ses intérêts, quoi du plus normal, quand on voit l'inefficacité des politiques européennes ?.

Le ministre français des Finances, François Barouin, n'a-t-il pas dit qu'il avait anticipé la dégradation de la note de la France ?. D'après le ministre, la perte d'un A, c'est l'équivalent d'une note passant de 21 sur 20 à 20 sur 20 !.

« La planche à billets de la BCE est en marche ! »
« BCE : la planche à billet est en marche
Le bilan de la BCE commence à inquiéter sérieusement les experts de Wall Street. La Banque centrale européenne (BCE) a indiqué hier que son bilan atteignait 2.730 milliards d'euros au 23 décembre. Il est en hausse de 239 milliards par rapport en une semaine, et de 553 milliards en trois mois. Le bilan de la BCE a notamment augmenté à cause des prêts accordés aux banques de la zone euro, qui atteignent au total 879 milliards d'euros (en hausse de 214 milliards). Cela tient à l'opération exceptionnelle de prêts à 3 ans réalisée le 21 décembre. La BCE a en effet réalisé le plus gros prêt de son histoire, attirant une demande record de 489 milliards d'euros de la part de 523 établissements.....»..
[...]
«...La progression du bilan de la BCE indique clairement que la planche à billets est en marche. Conséquence l’euro va continuer de baisser, en clair on va vers une forte dévaluation et l’inflation, elle, va s’envoler. Une manière de prendre dans la poche de tous les consommateurs ce qu’on ne peut prendre ailleurs pour assainir les finances. Un mécanisme parfaitement connu en France à l’époque du franc...»


Les politiques seraient-ils unis dans le mensonge des dettes souveraines et, encore plus inquiétant pour les nombreuses années qui vont suivent ?
Les Français sont champions en nombre d'élus et, en 2012, ils seront les champions des empilements de dettes pourries dans la zone euro. Vous savez combien DEXIA à déjà coûté à la France, 100, 200, 300 milliards d'euros ?.
"on ne peut pas agir contre les décisions du FESF" Article 24
A force de nous mentir et de nous prendre pour des imbéciles, avec les stress-tests qui étaient « l’école des fans » à la télé, les gens ne vous croient plus et forcément vous pouvez descendre très bas."
« 11 octobre 11/10/2011 - Le FESF (prochain MES: Mécanisme européen de stabilité) c'est la dictature des banquiers - "60% de la dette grecque ne sera pas remboursée - Les Slovaques ont compris, ils refusent de se faire tondre et ont voté contre le FESF
Quand on regarde les statuts du FESF, ça devient merveilleux. Il a la possibilité d'agir juridiquement contre un pays qui ne payerait pas, il a le droit de demander n'importe quelle somme à un pays, qui doit s'exécuter dans les 7 jours. En revanche ils se sont votés l'impunité, c'est à dire qu'il y a l'article 24 qui dit "on ne peut pas agir contre les décisions du FESF" même si elles sont ahurissantes et non fondées, vous n'avez aucun recours en justice contre le FESF...ce n'est pas la dictature économique, c'est la dictature des banquiers, et personne ne le dit
Allez donc faire un tour sur le blog d'un personnage compétent en matière d'économie et des finances : http://gbessay.unblog.fr/
« La médiocrité de la campagne électorale atteint des sommets surtout en matière économique »
«...Il ne s’agit pas de gérer les intérêts de la France mais la scène médiatique. Chaque jour de faire du buzz, il s’agit d’annoncer une nouvelle mesure ou inversement de dénoncer celle de l’adversaire. Nous sommes dans le court terme, l’immédiateté même, le superficiel, l’événementiel fugace, la posture davantage que la position de fond. Ceci vaut pour tous les candidats. Tous ou presque font des promesses insensées qu’ils ne pourront tenir....»
« Emprunts obligataires : une baisse des taux en trompe l’oeil »
«...Tout le monde s’est réjoui de la relative baisse des taux lors du lancement des emprunts récents des différents pays européens ; Au point qu’on a pu annoncer que la dégradation de Etats par les agences étaient intégrés depuis longtemps par les marchés, voire même que la crise était en bonne voie de résolution. En réalité, l’écart entre ces taux et ceux du marché secondaires, où on s’échangent les titres déjà achetés, est très important cela du fait des pressions exercées sur les banques nationales auxquelles les Etats imposent de souscrire aux obligations...»
« 11 octobre 11/10/2011 - Le FESF (prochain MES: Mécanisme européen de stabilité) c'est la dictature des banquiers - "60% de la dette grecque ne sera pas remboursée - Les Slovaques ont compris, ils refusent de se faire tondre et ont voté contre le FESF
Quand on regarde les statuts du FESF, ça devient merveilleux. Il a la possibilité d'agir juridiquement contre un pays qui ne payerait pas, il a le droit de demander n'importe quelle somme à un pays, qui doit s'exécuter dans les 7 jours. En revanche ils se sont votés l'impunité, c'est à dire qu'il y a l'article 24 qui dit "on ne peut pas agir contre les décisions du FESF" même si elles sont ahurissantes et non fondées, vous n'avez aucun recour en justice contre le FESF...ce n'est pas la dictature économique, c'est la dictature des banquiers, et personne ne le dit -...»
04 octobre 04/10/2011 - Il n'y a aucun espoir - "Arretez d'attendre que le politiques vous fassent un miracle, ça n'existe pas en matière d'économie ! - Les politiques ne font rien"
Portugal, Italie, Irlande, Grèce et Espagne ( PIIGS), ces cinq pays de la zone euro sont considérés par les agences de notation, comme des économies faibles [ La France n'en est pas très loin !]
Que les politiques de la zone euro-mark se raccrochent au modèle Allemand, ça pourrait se comprendre, mais, que nos syndicats français leurs embrayent le pas, à qui faudrait-il faire confiance ?
«...Nous pourrions ajouter que le plein-emploi à l’allemande est aussi une pure fiction statistique. Le travail à temps partiel et les emplois précaires — avec des rémunérations quasi fictives complétées par de maigres allocations — ont explosé. Mais tous ceux qui touchent un salaire (même inférieur à notre RSA) ne sont pas comptabilisés comme chômeurs, et les femmes au foyer non plus...»
« Il y aurait 5 000 milliards d'actifs toxiques dans les banques européennes » !
http://zen49.blogspot.com/
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr

1 commentaire:

sovad a dit…

Davos 2011.Janvier _ "il va falloir trouver un équilibre délicat entre deux forces opposées; d’un côté, la poursuite indispensable d’une politique vigoureuse d’austérité, synonyme de sacrifices et de réduction de la consommation, et de l’autre, la stimulation nécessaire de l’économie".

Comment se porterait la croissance dans les pays développés sans les béquilles de la dépense publique et du soutien des banques centrales au système financier ?

La réponse se trouve sous notre nez de citoyens européens : rechute du PIB britannique, récession en Grèce et en Irlande, 25% de taux de chômage réel en Espagne, faillite (dont personne ne parle) de la Hongrie et de la Bulgarie.»...Janvier 2011

http://la-chronique-agora.com/davos-ou-comment-glisser-sur-les-vrais-problemes-avec-elegance/

Davos 2012. 25-29 janvier. Le canton suisse va recevoir une nouvelle fois, le gratin des pays les plus riches de la planète. Le World Economic Forum à Davos se réunira sur fond de crise financière, économique et sociale.

La montagne magique de Thomas Mann ne révolutionnera pas les esprits des maîtres du monde