Bien que, pour le moment, je m'en tienne à une stricte neutralité politique, un citoyen-électeur responsable doit pouvoir reprendre à son compte cette expression latine : « cum grano salis »

Si ces chiffres sont exactes, c'est une aberration politique !. Michel Rocard, en particulier, laissait sous-entendre ce problème d'immigration incontrôlée dès 1990 !

«.... Enfin, concernant le droit d'asile, les chiffres auraient littéralement explosé, passant de 9.178 en 2010 à 11.302 en 2011 (chiffre arrêté fin novembre), soit une augmentation de 23,14%. « Cela n'étonnera pas quand on sait que le pouvoir Sarkozy est étroitement lié aux puissances d'argent et aux grand patronat, qui sont les premiers demandeurs d'immigration, pour faire pression à la baisse sur les salaires en France », commente la présidente du FN....» France Soir

Entendre parler de protectionisme aujourd'hui, pour financer notre protection sociale, c'est reconnaître à la face du Monde que nos hommes politiques se sont carrément trompés depuis le début des années 1970. Observons le cours de la situation dramatique dans laquelle nos gouvernements successifs nous ont conduit. Vous n'avez pas remarqué que l'économie et la finance n'ont plus grand-chose à voir avec la politique interventioniste menée, au fil de l'eau, par des ministres, des conseillers et autres hauts fonctionnaires qui sont tous, plus intéressés par leur carrière politique et personnelle que par l'intérêt général !

Il y a plus de 400 ans, Sully, ministre d'Henri IV, aimait à prononcer cette formule : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France ». Depuis les cinquante dernières années, chaque jour qui passe détruit quelques hectares de terres agricoles. Des industries se sont délocalisées en grand nombre... !.

En 1990, l'analyse de la situation économique de la France par Michel Rocard n'a pas été suivie d'effets. Et pourtant, notre sénateur, ancien premier ministre, avait posé le doigt sur une réalité incontestable aujourd'hui, quand il écrivait :
« Elle [la politique] soulignait les limites inévitables que les circonstances économiques et sociales imposent à toute démarche d'immigration, et cela d'autant plus qu'on veut la conduire dignement.». [...] et, d'ajouter cette phrase devenue maxime : « Que nous ne puissions, à nous seuls, prendre en charge toute la misère mondiale ne nous dispense nullement de la soulager en partie. Au contraire. Dans la fidélité à elle-même, à ses principes, à son histoire, la France doit prendre loyalement, fièrement et généreusement sa juste part de cette misère. N'est-ce pas de Gaulle, qui proclamait : « C'est beau, c'est grand, c'est généreux, la France !» Ouvrons les yeux ! La France est la quatrième puissance économique de la planète, et quelles que soient ses difficultés actuelles, ells sont sans commune mesure avec celles de l'immense majorité du reste de l'humanité.».

Depuis plus de 20 ans, tout a été chamboulé par la mondialisation des échanges, par la flambée des spéculateurs et par l'accroissement de la corruption à tous les niveaux.

Depuis 10 ans, la monnaie unique (l'euro-mark), la BCE et la Commission européenne se sont révélées, au fil du temps, un boulet au pied favorisant l'inertie des 17 pays de la zone euro.

Captage d'écran TV

La zone euro serait-elle devenue un terrain de jeu pour « la balle au prisonnier » ?. Chacun de ces pays se retrouve prisonnier de l'une des deux équipes Allemande ou Française. Il est probable que l'Allemagne sortira grande gagnante de cette partie de balle aux prisonniers !.

Alors, question simple : que comptent-ils faire pour nous en sortir, nos prétendants à la tête de l'Etat ?. Si c'est de continuer à rajouter parpaing sur parpaing, à l'impressionnant mur des dettes souveraines, pourquoi irions-nous voter pour des politiciens kamikazes ?.

Par contre, il faudra soutenir par votre bulletin de vote, le ou les candidat(e)s à la présidentielle qui auront le courage de dire STOP à cette folie dépensière, destructrice d'emplois et, fragilisant notre modèle social. Ils devront s'engager fortement à garantir nos Institutions démocratiques et notre indépendance nationale.

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