Campagne Présidentielle propice aux commisérations, est-il vraiment utile de le préciser, sans arrière-pensées électoralistes !. Une élue d'Angers qui claque la porte

« François Hollande, François Bayrou, Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly ont signé mercredi le "contrat social pour une nouvelle politique du logement" de la Fondation Abbé-Pierre, qui présentait son rapport annuel sur le mal-logement ». Le président Sarkozy n'était pas présent, il était représenté par Henri Guaino, son conseiller spécial. Il n'a pas été invité à signer ce contrat social, Nicolas Sarkozy n'étant pas encore candidat à sa propre succession.

Il y a deux ans, monsieur Eric Zemmour remettait la France à sa place : " Une grandeur au passé...! "

RTL, ce matin, 2 février, vers 7 H 16

http://www.rtl.fr/emission/z-comme-zemmour/ecouter/eric-zemmour-le-logement-dans-la-campagne-le-jour-de-gloire-de-martin-bouygues-7743029274


Dernière minute :

Enfin,sur RTL, un chroniqueur, Eric Zemmour qui a résumé en deux minutes, le syndrome du logement social en France.

J'ajouterais que c'est surtout le fonds de commerce des élus ; il suffit de constater la croissance exponentielle des impôts fonciers et locaux dans les villes moyennes. Ce sont eux et leurs amis promoteurs, les principaux responsables de la flambée des prix des loyers et de l'explosion du marché de l'immobilier. La crise des subprimes serait terrible sans pétrodollars et yuans !. Dans dix ou vingt ans, la France serait-elle toujours la France, la nôtre, celle de nos parents, de nos grands-parents, la France de nos ancêtres ?.

Ce ne sont pas les airs égrillards des Cohn-Bendit, Mélanchon, Morano et, j'en passe qui vont redorer l'image de la France à l'étranger !.

Je ne résiste pas à afficher l'oeuvre ancienne d'un pirate angevin de blog !

Succession impromptue du maire d'Angers suscite la polémique !

Voici une anecdote angevine, anjouvine ou mainoligérienne qui trouve sa place dans ce contexte de politique politicienne. Cette démarche féminine méritait d'être saluée, que l'on soit sans étiquette, de droite, de gauche ou du (des) centre(s) !.

Comment peut-on qualifier cette démission d'une conseillère municipale. C'est une attitude courageuse, une démarche audacieuse ou tout simplement une démission devenue difficilement inévitable, depuis le clash de son leader politique, la première adjointe Bernadette Caillard-Humeau, avec le maire Jean-Claude Antonini ?. 

Photo Courrier de l'Ouest du 1er février 2012, en page 6

Sans aucun parti pris, ni préjugés contre l'équipe municipale, il faut bien admettre que la diatribe de Sophie Briand-Boucher ne manquait pas de panache, ni de résonnance dans cette salle du conseil municipal, ce 26 janvier 2012. Le message appuyé, emprunt de sincérité, lancé par son alter égo, Philippe M., démissionaire, lui aussi, restera-t-il dans la mémoire de la politique locale ?. En tout état de cause, et, si l'on a encore le droit à la divagation en politique, pourquoi cette élue centriste ne serait-elle pas un *écoinçon dans la prochaine équipe municipale ?. *L'ébéniste « roi Jean » ne l'avait-il pas été à ses début, cet homme qui avait arrondi les angles avec le PC, entre 1977 et 1980 ?. La suite de ses mandats de maire a montré sa tendance à pencher vers la droite modérée, ce n'est pas le PC angevin qui en dira le contraire...

L'édition d'ANGERS du Courrier de l'ouest du 1er février faisait sa couverture-photo : « Sophie Briand-Boucher celle qui a osé dire non »

Et, d'ajouter sous la Photo de la couverture : « ANGERS. L'élue centriste a refusé de cautionner l'élection du maire. Sa démission lui a valu de nombreux soutiens. Elle revient sur ces heures qui marquent un tournant dans sa carrière politique.» Page 6

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