mercredi 1 février 2012

La Sarkomania, c'était en 2007, pour autant, faudrait-il croire Hollan de mains qui chantent en 2012 ?. Un Cohn-Bendit toujours aussi fèlé...


La Sarkomania, c'était en 2007, pour autant, faudrait-il croire Hollan de mains qui chantent en 2012 ?.

Ce matin, sur RTL, François Hollande a renforcé le carcan du bipartisme politique, l'UMPS antidémocratique !. Dimanche soir, si vous n'étiez pas devant une des neuf chaînes de télévision, vous avez peut-être entendu la question de Jean-Michel Aphatie à François Hollande :

« si Marine Le Pen n'a pas ses 500 signatures, vous trouvez ça normal qu'elle ne soit pas présente à l'élection présidentielle ? ».

A un iota près, c'est exactement la même réponse qui a été faite par le président de la République, Nicolas Sarkozy !. Une belle leçon de démocratie à la Française ou serait-ce la démonstration d'un manque de courage politique ?.

Si ce parti est indésirable en France et pas dans les autres pays de la zone euro, ça veut dire quoi ?. Et bien, je vais vous le dire. La France n'est plus un pays démocratique et, surtout que la gauche ne se recommande plus de François Mitterrand, que quand ça l'arrange.
Vous avez entendu l'Allemand « Con -Bendit », le mal embouché des Verts allemands qui vient mettre son nez dans la politique française. La France est le deuxième pays contributeur pour rembourser les dettes de la zone euro. Vous français et française, vous vous sacrifiez pour assurer 40 % du revenu  de ce cossu député allemand « européen » qui méprise une partie importante de  la France et des français.

Daniel Cohn-Bendit est interdit de séjour en France, le 22 mai 1968, cet extrêmiste de gauche reconverti au capitalisme puis devenu « Réformisme écologico-social lié à une tradition libertaire qui est effectivement non étatique ».Relisez donc sa biographie sur ce lien Wilkipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Cohn-Bendit

Pour reprendre à son compte, ses paroles offensantes à l'encontre de plus de 20% de l'électorat français, ce « salopard » de la politique, ce profiteur du système, ça mériterait bien un bon outrage aux bonnes moeurs sur un plateau de télévision nationale. Un retour sur investissement pour François Bayrou, souvenez-vous de l'émission TV « A vous de juger ». Bayrou s’est élevé contre «l’idée selon laquelle il fallait épargner Nicolas Sarkozy dans cette campagne», défendue, selon lui, «par Daniel Cohn-Bendit», qu’il a accusé d’avoir avec le pouvoir «des relations amicales, sympathiques, formidables». Libération 4 juin 2009. « Bayrou et Cohn-Bendit s’insultent lors d'un débat télévisé »

Lire le passage incriminé sur ce lien :
Paris, hier, réunion publique de soutien à Eva Joly, en présence de Mélenchon et Marie-Georges Buffet, l'Allemand Cohn-Bendit n'a pas pu la ramener en s'en prenant à madame Le PEN :

Quelques propos tenus par ce salopard de député européen,  parfois revus et corrigés :

« le droit d'aller voir les débiles mentaux qui sont de droite et d'extrême droite en Autriche. Je ne vais pas lui imposer d'aller voir les Verts autrichiens",

"Les masques tombent, on voit qui sont ses amis", oui monsieur « Con-Bendit », plus de 20 % des français vous le redisent aujourd'hui, vos propos sont indignes dans la bouche d'un député européen.

"les déglingués fascistes", "les débiles mentaux d'extrême droite" en Autriche et, plus de 20 % de français, ils vous disent bien des choses monsieur Cohn-Bendit. Allez Raoust!

« Ce Cohn-Bendit a le droit de raconter ses frasques de jeunesse faire ces folies, je ne vois pas pourquoi on perd son temps à l'écouter ».

Monsieur le planqué de Bruxelles, monsieur le député allemand-européen, monsieur Cohn-Bendit  :

S'il vous plaît, occupez-vous de vos affaires et, laisser les français décider, par eux-mêmes.

Bitte, beschäftigen Sie sich mit ihren Geschäften und französische Sprache entscheiden(beschließen) lassen....

Dire que ce type Cohn-Bendit prêche pour une europe fédérale !. Il faut être fou pour suivre un cinglé de cette espèce !


http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr

4 commentaires:

Pour qui-pour quoi ?. a dit…

Depuis 2008, la France a dépensé 2 milliards d'euros en Afghanistan

http://feedproxy.google.com/~r/politique-net/~3/yvqftQVXZM0/2012013101-afghanistan-2-milliards-d-euros.htm?utm_source=feedburner&utm_medium=email

Pour qui-pour quoi ?.

Anonyme a dit…

http://www.boursorama.com/actualites/le-conseil-constitutionnel-se-penchera-sur-les-parrainages-67011ecd041e90df48df2a0ca2bbd36b

"Il ne s'agit pas de défendre Marine Le Pen, d'ailleurs je ne suis pas la seule dans cette situation, il s'agit de défendre la démocratie", a-t-elle dit sur i>Télé.

L'audience publique du Conseil constitutionnel se tiendra le 16 février. Le Conseil d'État a renvoyé jeudi au Conseil constitutionnel la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) posée par Marine Le Pen, estimant qu'elle remplissait les conditions juridiques requises."

Anonyme a dit…

Sujet du dernier sommet de Bruxelles du 31 janvier 2012 :

« Un état des lieux de l'extrême-droite en Europe », par Jean-Yves Camus

31/01/12 - A l'approche des élections présidentielles en France, Touteleurope.eu publie une série d'entretiens sur les familles politiques en Europe.

Premier volet : un état des lieux de l'extrême-droite européenne avec Jean-Yves Camus, politologue et chercheur associé à l'IRIS, spécialiste des nationalismes et extrémismes en Europe.

Touteleurope.eu : Comment définir aujourd'hui l'extrême-droite européenne ?

Jean-Yves Camus : Vaste sujet, qui divise depuis longtemps les théoriciens de la science politique ! Il existe beaucoup de définitions de l'extrême-droite, mais aucun consensus sur la batterie de critères qui permettraient d'y ranger un parti de manière définitive."...

http://www.touteleurope.eu/fr/
actions/citoyennete-justice/les-droits-du-citoyen-europeen/analyses-et-opinions/analyses-vue-detaillee/afficher/fiche/
5688/t/43857/

Anonyme a dit…

hello

The rich and the poor , the important it is not to win, some or the others, some opposite to the others. . It makes no sens, unless sharing a minimum of solidarity and the common elementary values
bye-bye