L'ARNAQUE de la dette publique
Nous avons payé 48 milliards d’euros en 2010, pour les seuls intérêts de ce qu'on appelle « la charge de la dette ».
C'est transférer de notre travail et de notre production 5 millions chaque heure !
Aussi bien l'article 25 de la loi du 3 janvier 1973 qui institue ce HOLD UP que l'article 104 du traité de Maastricht (repris par l’art. 123 du traité de Lisbonne) interdisent aux banques centrales d’acheter directement aux États des titres de dette publique, ce qui signifie que nous laissons à une vingtaine de banques privées et d’établissement financier ce droit. Or ces banques se refinancent à 1,25% après des banques centrales et « revendent » cet argent aux États en prenant au passage de substantielles commissions ; les intérêts iniques et non justifiables qui s’accumulent ainsi au fil des ans
(voir le site http://monnaie.wikispaces.com/ pour les détails concernant l'émission de monnaie par les banques de second rang).
[...]
Sans intérêts, les budgets des Administrations publiques sont sensiblement en équilibre moyen sur la période 1980 – 2008.
- Fin 1979, la dette, déjà injustifiable, était de 243 Md€ (21% du PIB); Fin 2010, la dette s’établit à 1591 Md€, 82% du PIB !
- Les déficits sont la conséquence des intérêts qu’il a fallu payer (second poste budgétaire après l’enseignement)
- Nous avons, entre 1980 et 2010, payé 1 408 Md€ pour les seuls intérêts: 125 millions par jour en moyenne !
- Sur cette période la dette a augmenté de 1348 Md€, du à l’effet boule de neige
Si nous n’avions pas eu à payer ces intérêts la dette publique serait plus faible aujourd’hui qu’en 1980
194 Md€ soit 10% du PIB
[...]
[...]
Nous préconisons également …
De quitter l’euro en tant que « monnaie unique » pour retrouver notre monnaie nationale, le franc, afin de pouvoir financer immédiatement les intérêts des dettes publiques en cours, en plus des besoins d’investissement nécessaires à la transition énergétique, en intégrant si possible ce franc dans une « monnaie commune » européenne.
L'éventualité du passage en France à un système « 100% monnaie" (déjà proposé par Irving Fisher en 1936 et développé par Maurice Allais et Ch.Gomez) permettrait de neutraliser instantanément au moins 50% de notre dette publique, en plus de permettre une recette fiscale supplémentaire « gratuite » et annuelle de 40 Milliards d'euros (# 80% de l'impôt sur le revenu)...
http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire