Pour l'ancien vice-président du patronat français, il faut désormais agir "d'urgence".
"Au rythme actuel, les opinions publiques des pays les plus forts de la zone euro vont devenir hostiles à la monnaie unique", craint-il. "En France, le sauvetage de la Grèce représente 40 milliards d'engagements supplémentaires pour notre pays", relève-t-il. Pour M. Kessler, les dirigeants mondiaux ont fait une erreur d'analyse en cherchant à sortir de la crise par une relance keynésienne classique.
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire