Je veux, encore le croire, que notre Laurent, comme l'avait fait Chateaubriand en son temps, s'écarte du chemin ouvert par Condorcet qui, lui ne croyait pas qu'il existait un chemin menant l'humanité à de constants, à d'inévitables perfectionnements, dans l'ordre moral et politique.
Le Mouvement Démocrate a besoin de femmes et d'hommes politiques courageux qui seront capables de remettre, au premier plan, l'éthique et la morale en politique.
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