mardi 7 octobre 2014

"Croissance : deux scénarios, aucun choix" ! Nouvel ordre des finances mondiales ?. RIEN, PIRE : la France cumule les échecs !.



Aux Esprits chimériques dans notre République

Financer la croissance rien que par l'endettement
C'est accepter d'avance un grand chambardement.
Dérèglementation des marchés financiers,
Et les crises financières, bonheur des créanciers,
Faibles taux d'intérêts incitent à s'endetter.
L'épilogue financier provoque la débandade.
Dans toute la zone euro, résonne cette aubade
Concert d'avertisseurs, pour la prochaine décade
La croissance implorée, victime d'une dérobade.

Matignon, Elysée font confiance à Bercy,
Mais Francfort et Bruxelles ne l'entendent pas ainsi.
Taux d'intérêts en hausse, les revenus en baisse,
La France et l'Italie vont connaître la détresse,
La misère financière, la croissance du chômage,
L'europe de Maastricht était bien un mirage.
Bel adage d'eurocrates qui profite à Bruxelles
Anti-européens se sentent pousser des ailes !.

Zen-fiatlux.blogspot. Le mardi 7 octobre 2014


Dans les dernières pages de Ouest-France du jeudi 2 octobre 2014, je suis tombé sur un Point de vue, au titre choc sur la croissance. Il a été rédigé par le Président, Yann Coatanlem, du Club Praxis, un think tank transatlantique.

« Croissance : deux scénarios, aucun choix »

« De Larry Summers à Mario Draghi, de nombreux économistes et banquiers centraux considèrent que l'économie mondiale s'oriente vers une stagnation prolongée. L'anémie de la croissance est loin d'être propre à l'Union Européenne : dans la plupart des économies de la planète, la faiblesse des taux d'intérêts peine à stimuler l'investissement et à soutenir l'activité économique »

Ces deux scénarios envisageables devraient interpeller nos dirigeants politiques :

[...] «...ou bien la croissance continue d'être faible et alors améliorer notre compétitivité devient essentielle, mais peu atteignable si le fort endettement et train de vie de l'Etat continuent à peser sur l'économie ; ou bien la croissance mondiale revient en force avec invariablement des pressions inflationnistes entraînant une remontée des taux par les banques centrales. Alors les Etats très endettés comme la France seront asphixiés. Ils seront obligés d'augmenter la pression fiscale et donc de réduire davantage la profitabilité des entreprises et le pouvoir d'achat des ménages.
Dans les deux cas, il n'est de salut que dans une maîtrise des dépenses publiques. [...]

« Pas de salut sans maîtrise des dépenses publiques »

[...] « La réalité est que nous n'avons plus le choix si nous voulons préserver l'avenir de notre jeunesse et garder la place de la France dans le monde, et avant que des forces extérieures nous imposent des mesures ô combien plus douloureuses.
Pas le choix..., Pas le choix..., Pas le choix..., pas le choix..., Pas le choix...Pas le choix...[...]
Le reconnaître clairement, c'est faire un grand pas en direction du redressement du pays...» [...]

 
Bruxelles, Parlement Européen  
 
L'empereur du saint Empire romain germanique, Charles Quint était donc un précurseur de la zone euro... ? : « J'ai appris l'italien pour parler au pape, l'espagnol pour parler à ma mère, l'anglais pour parler à ma tante, l'allemand pour parler à mes amis et le français pour parler à moi-même ».
Qu'en est-il advenu de son immense Empire, sur lequel le soleil ne se couchait jamais ?...

Tribune de Genève du 3/04/2009

« Le G20, de l'intérieur et de l'extérieur »

« Londres | Le sommet du G20 débouchera-t-il sur un nouvel ordre des finances mondiales ? L'histoire jugera. Mais qui sont ces 20 chefs les plus puissants de la planète? Cette galerie d'ambiance sur le sommet du G20 permettra de rafraichir les mémoires.»
Souvenirs Au 10 DOWNING street :
[ la Tchéquie assumant la présidence du Conseil de l'Europe en 2009, son premier ministre Mirek Topolanek ]
[ Président Obama pose avec le Premier ministre italien Silvio Berlusconi,]
[ Fait exceptionnel: la Chine est représentée par son président Hu Jintao...]
[ Avant Londres, le président du Brésil Luiz Inacio Lula Da Silva avait fait une petite visite à Paris.]
[ Pour l'Allemagne, la chancelière Angela merkel (ici avec le président de Russie Dmitry Medvedev).]
[ Poursuivons la tournée des 20 pays: le président de la France Nicolas Sarkozy salue l'épouse du prince Charles, Camilla ]
[ Le premier ministre de la Turquie Tayyip Erdogan.]
..... Sources : Keystone, Reuters, Tribune de Genève


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2 commentaires:

Anonyme a dit…

Les syndicats et les dizaines de milliers de permanents syndicaux [spécialement dans l'Education Nationale et dans les collectivités locales], ils sont financés, principalement, par les impôts des contribuables !.

"Qui sont-ils ? Qui représentent-ils ?
Comment sont-ils financés?

Cher contribuable,


A la moindre tentative de réforme dans l'hexagone, le pays se retrouve bloqué par les syndicats. Et les trois quarts du temps, cette politique « de la rue », bien française, fonctionne : les gouvernements successifs reculent face aux pressions des grévistes. Les réformes à mettre en oeuvre pour arrêter d'asphyxier les contribuables à coups d'impôts sont pourtant nombreuses !


En France, depuis bien trop longtemps déjà, les syndicats semblent intouchables. Ils sont devenus si puissants qu'on se demande parfois s'ils ne dirigent pas le pays... Mais qui sont-ils ? Qui représentent-ils ? Comment se financent-ils ? Autant de questions sur lesquelles notre association enquête depuis de nombreuses années pour tenter de vous fournir des éléments de réponse... et des solutions pour en finir !


Autorisé en 1884, le syndicalisme a depuis prospéré pour devenir ce qu'il est aujourd'hui. En 1895, naissait la CGT, qui n'a depuis jamais cessé d'être un syndicat primaire, préférant l'affrontement au dialogue, le sabordage au compromis. Cela ne l'a pourtant pas empêché de bâtir un véritable empire sur fond de lutte des classes et de rêves de disparition du patronat. Désormais, ses ressources sont trois à quatre fois supérieures à celles des syndicats anglais ou allemands, qui comptent pourtant 5 à 10 fois plus de membres !


Car il faut le souligner, les salariés sont de moins en moins syndiqués. En 1950, 25% des travailleurs adhéraient à un syndicat. Aujourd'hui, ils sont moins de 8%, et même moins de 3% dans le secteur privé. Les syndicats ne sont donc aucunement représentatifs !


Les syndicats ont été créés dans l'optique de défendre les intérêts des travailleurs, et devraient être de fait exemplaires dans leur action en protégeant au mieux les citoyens. Mais aujourd'hui, leur combat s'arrête à la défense des avantages indécents et souvent obsolètes d'une minorité, dans un contexte de crise qui nécessite pourtant de grandes réformes !


Pire encore, si la part des syndiqués dans la population française a drastiquement diminué, les montants alloués aux syndicats, eux, ont été multipliés par 20 ! Logique...


Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 3% par les cotisations de leurs adhérents ! Ils sont gavés de subventions et de fonds publics ! Chaque année, ils reçoivent 1,3 milliard d'euros. Tout cela pour brandir des menaces de grève - arme qu'ils utilisent sans restriction -, aux dépens de ceux qui les font vivre !


En théorie, ils sont censés vivre des cotisations de leurs membres, comme, nous, nous le faisons, mais dans la pratique, il n'en est rien ! L'époque où la CGT était directement financée par le parti communiste est bel et bien révolue...


Et à ces financement s'ajoutent certaines pratiques occultes : membres fictifs, compléments de salaires, rémunérations non déclarées, travail au noir, indemnités diverses et variées, loyers étonnamment hauts laissant planer des doutes de blanchiment d'argent ... Tout le monde semble fermer les yeux face à la toute-puissance syndicale.

L'omerta est totale et des élus sont mêmes complices de ce racket organisé. Locaux mis à disposition, eau et électricité gracieusement offertes... tous les arrangements sont bons pour entretenir ces syndicats et leur octroyer un pouvoir de nuisance toujours plus grand."

Anonyme a dit…

L'égalité à la mode PS, Hollande-BelKacem-Valls !!!

Les trois plaies des complémentaires santé

Les intervenants, très divers, ont dressé le catalogue des problèmes posés par l’organisation actuelle de l’Assurance-maladie : "Quand les complémentaires s’installent, les inégalités commencent."

« Cette affirmation, reprise plusieurs fois au cours de la journée, est forte dans un colloque consacré à ces organismes.

Elle est exacte :

Les contrats collectifs bénéficient d’exonérations sociales et souvent fiscales dont ne profitent pas les contrats individuels ;

Les contrats collectifs souscrits par les entreprises pour leurs salariés sont plus favorables que les contrats individuels… mais sont déficitaires, donc financés par les contrats individuels ;

De nombreuses complémentaires sont « fermées » et donc réservées à des groupes de personnes homogènes. Les complémentaires (souvent des mutuelles ou des instituts de prévoyance) qui concernent des populations nettement au-dessus de la moyenne en termes de ressources et de niveau d’éducation (ex. celle de la Caisse des Dépôts, de l’Education nationale ou de grandes entreprises comme Total ou EDF), ne pratiquent aucune solidarité avec les complémentaires individuelles ou avec celles d’autres entreprises dont les salariés sont moins favorisés (ex. ouvriers du bâtiment, de petites entreprises, personnels domestiques).»

Newsletter du 9 octobre 2014
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