Mardi
15 novembre 2011
Quelle
force politique aura le courage de redonner à la France sa
capacité à créer un million d'emplois dans les deux ans. Pour
cela, il faut revenir à notre monnaie nationale. Il faut accepter
une dévaluation plus ou moins forte du franc, celle-ci permettra aux
entreprises françaises de retrouver une très forte compétitivité.
Il faut rétablir les barrières douanières. Il faut redonner de
vrais pouvoirs à la Banque de France. Les taux et les marchés de
change seront une source importante de profit pour les institutions
bancaires....La
France aura retrouvé sa souveraineté et, ses citoyens reprendront
confiance en l'avenir.
Avec sa monnaie, la France s'est bien relevée de la dette de ces
deux dernières guerres !.
Référendum sur le traité de Maastricht du 20 septembre 1992 :
Non
: 12 626 700 (48,96 %)
Oui
: 13 165 475 (51,04 %)
«
Le traité de Maastricht précise aussi les conditions du futur
passage à la monnaie unique. Afin de permettre une certaine
harmonie nécessaire à l’union monétaire, les européens décident
de critères de convergence conditionnant pour chaque pays membre la
possibilité d’intégrer l’union monétaire
Le
taux d'inflation ne doit pas excéder de plus de 1,5 % celui des
trois pays membres ayant les plus faibles taux d'inflation
Le
déficit budgétaire doit être inférieur à 3% du PIB
Un
endettement public inférieur à 60 % du PIB
Les
taux d'intérêts réels à long terme ne doivent pas excéder de 2 %
celui des trois pays membres ayant les plus faibles.
Pas
de dévaluation monétaire dans les deux années précédant
l'intégration à l'union monétaire.
Suite
à la ratification du traité de Maastricht l'euro deviendra la
monnaie de la France, en 1999 pour les marchés financiers puis en
2002 comme monnaie fiduciaire.
Sources traité de Maastricht – Wilkipedia
Sources traité de Maastricht – Wilkipedia
http://zen49.blogspot.fr/2011/11/le-droit-de-bousculer-la-pensee-unique.html
Lundi
15 décembre 2014
Le
plombier Polonais a gardé son zloty.
Son
pays a reçu des sommes considérables,
Entreprises
françaises s'exilent à Varsovie.
Lui,
il travaille en France, sans être contribuable ?
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