Mardi
4 mai 2010
Les
Marchés financiers sont peu convaincus par les aides à la
Grèce...?.
[…]
Allons nous assister à l'effet domino tant redouté par les
européens « convaincus ». Il faut dire que nos parlementaires
avaient décidé, à notre place, d'entériner le traité de Lisbonne
à Versailles en méprisant totalement le résultat du référendum
populaire. En votant d'une seule main, la majorité parlementaire et
le PS ne pouvaient que souscrire à emprunter pour essayer d'enrayer
le désastre financier de la Grèce. Un engrenage catastrophique pour
les européens, principalement pour les Français qui sont déjà
dans une situation extrêmement précaire.[...]
«
Le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz a prédit mardi la fin
possible de l'euro si l'Europe ne parvient pas à régler ses
"problèmes institutionnels fondamentaux", dans la foulée
de la crise grecque. Interrogé
par la radio BBC 4, M. Stiglitz a estimé que le plan d'aide UE-FMI,
assorti d'un plan d'austérité dont il a critiqué la sévérité,
ne ralentirait pas l'ardeur des spéculateurs à miser sur un
affaiblissement de la zone euro. "Les conditions apparemment
excessivement dures imposées à l'Espagne", a-t-il dit en
faisant un lapsus, "seront en réalité contre-productives pour
prévenir une contagion". Les
analystes signalent en général l'Espagne comme le prochain pays de
la zone euro à pouvoir connaître les mêmes difficultés que la
Grèce....»
la
suite
sur Actualités Boursorama-AFP le 04/05/2010
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