mardi 23 septembre 2014

Ce siècle d'eurocrates, des années de désastre, de misère sociale, de perte d'identité, voilà le résultat !.


Cette équinoxe d'automne, où l'on fait de l'intox
Dans ce siècle d'eurocrates, d'ironie socratique,
L'Europe est leur lubie, les peuples laissés au box
Zone euro, leur destin, un choix technocratique.

Vision psychédélique des hommes politiques,
Moutonniers de Bruxelles, d'un paradis fiscal,
Sous le joug d'oligarques au pouvoir tyrannique,
Qui se moquent totalement de la pression fiscale.

La mondialisation, le siècle des europhiles,
Une véritable impasse pour les eurosceptiques,
Cette idéologie se révèle inutile,
Casse les économies et les structures publiques.

Une énorme ingérence dans toutes nos libertés,
Chacun de ces Etats, esclave d'une banque privée
BCE, un bunker qui décide pour tous.
Une folie kafkaïenne, un délire de voyous.

L'ambition de Schuman, la réconcialion
Entre belligérants pour les matières premières
Qui, au fil des années, se révèle une fiction.
Cette monnaie unique, véritable cimetière
Pour les économies des Etats de la zone.
Concurrence déloyale, corruption galopante,
Croissance de la misère, pouvoir d'achat atone,
Il nous faut réagir, Assemblée Constituante !.

Zen-fiatlux.blogspot, le 23 septembre 2014.
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2 commentaires:

Anonyme a dit…

Cette blague qui suit est un fait divers, vrai ou faux ; il illustre bien les propos du café du commerce :

« c'est vrai, je l'ai lu dans le journal ou je l'ai entendu à la radio ou vu à la télévision » :

Une blague sur les journalistes racontée par un illustre inconnu qui résume bien la «sincérité» de commentaires écrits par certains journalistes ou entendus dans des médias :

" Un Para se promène au zoo de Vincennes, lorsque tout à coup il aperçoit une petite fille qui est un peu trop proche de la cage du gros lion d'Afrique.

Soudain le lion attrape la robe de la petite et la ramène vers lui afin d'en faire une bouchée.....tout ceci sous les yeux des parents qui hurlent de désespoir.

Le Para, sans hésiter une seconde, se rue sur le lion et lui assène un terrible coup de poing sur le museau, le lion recule en lâchant prise et se frotte le museau en grognant, pendant que le Para revient avec la petite vers ses parents qui pleurent de joie et n'arrêtent pas de le remercier.

Un reporter a tout vu et s'approche du Para : « Monsieur vous venez d’avoir un geste extrêmement courageux, je n'ai jamais vu un homme faire un tel geste depuis 40 ans que je fais ce métier ».

Le Para répond
« Mais Monsieur je n'ai rien fait d'extraordinaire!. Le lion était en cage, et j'ai vu le danger que courait la petite. »

Le reporter répond: « Monsieur je vous garantis que ceci ne passera pas inaperçu, je suis journaliste, et demain vous serez en première page....dites moi de quelle région êtes vous originaire, êtes vous PS ou UMP ?

Le Para répond : « je suis fils de Pieds Noirs et j'ai voté Le Pen ».

Le journaliste s'en va...

Le lendemain le Para achète le journal afin de lire la première page et voir si son geste de la veille y est mentionné...
il lit alors :

« UN PIED NOIR DU FRONT NATIONAL
ATTAQUE UN IMMIGRANT AFRICAIN
ET LUI VOLE SON REPAS ....... »

...Et c'est comme çà que les médias vous transmettent les nouvelles aujourd'hui......

Conclusion de cette blague qui manque d'indulgence mais, qui n'est pas dénuée de toute invraisemblance !.

Jean-Jacques Rousseau dit : " La morale est un jaillissement de l'âme qui prend conscience de sa bonté naturelle, et l'on peut concevoir, chez les "belles âmes" comme celles de la Nouvelle Héloïse, la possibilité d'être moral sans obéir à des règles ".

Bon vote !!!

Alain Février a dit…

Parlementaires, Ministres, la France est à genoux
Elle est à la merci du premier fonds de pension.
Matignon, l'Elysée, sont-ils des joujoux ?.
Troïka et Berlin leurs mettent la pression.

J'assume, je vous le jure, regard droit dans les yeux,
Expressions galvaudées exaspèrent les français,
Vos mensonges quotidiens polluent la société.
Députés, sénateurs, vos soutiens insidieux,
A ce gouvernement, dissimulent vos méfaits.
Vous en êtes responsables de ces calamités.
On ne gouverne pas sans consentement du peuple.
Voter l'austérité sous des applaudissements,
Cynisme déplorable pour des élus du peuple,
Ce geste déplacé suscite ressentiments.
L'europe, cette chimère pour Etats dépensiers
Expose au monde entier son incapacité
A créer des richesses plutôt qu'à les piller.
Concurrence déloyale, une course effrénée
Au moins-disant social, au tarif le plus bas,
La descente aux enfers, elle est bien engagée.
Une europe à vingt-huit, elle conduit au trépas
Dites non à cette europe, il faut la répudiée.