dimanche 21 septembre 2014

Justice - Egalité entre public-privé - Droits à la retraite : criantes injustices entre salariés français, réfugiés, étrangers. Perversités Politiques !


  
Travailler toute une vie en ayant cotisé,
On vous avait promis une retraite décente.
Nos nantis politiques, sénateurs, députés,
Ils se sont bien servis, situation très choquante
Au vu des salariés dans le secteur privé.
La haute fonction publique, une place exubérante,
Appointements délirants, privilèges insensés
Pour énarques planqués, cette image récurrente
Alimente les colères, la grogne du privé.

Coup de sang des légumiers bretons
 
La descente vers l'abîme de notre agriculture,
En Bretagne et ailleurs, producteurs étranglés,
Ils sont les sacrifiés sur l'autel de l'Europe.
Folie des eurocrates, leur roman d'aventure,
A chacune de ses pages, s'ajoute la gravité.
Un peuple est asphixié, victime de syncopes,
L'endettement excessif de ces cultivateurs,
C'est le fait de Bruxelles et de l'Etat Français.
Concurrence déloyale, les prix sont destructeurs
La France est impuissante devant tous ces excès.

Allégeance à Bruxelles, soumission à Berlin,
Nos pantins à Paris, ils se sont liés les mains
En signant des traités sans penser à demain.
Ils sont seuls responsables de ce tragique destin

La première des réformes et celle de l'Etat,
Dans ses Institutions, chez les parlementaires
Il faut réduire les coûts, le principal dégâts
Le nombre exhorbitant de nos parlementaires !.


Dans un livre « politique » que personne n'aurait lu,
Boudé par les médias et la classe politique,
Paradoxe populiste, il s'est très bien vendu !.
Scènes publiques et intimes, attitudes cyniques,
Elles dévoilent les travers des hommes de pouvoir.
En matière de lacheté et d'infidélité,
Ces hommes sont des couards, en oublient leur devoir.
Ambitions sans limites, égo démesuré,
Ils veulent tout et maintenant, le peuple à leurs genoux.
Courtisanes et maîtresses, elles doivent rester leur chose.
Des intrigues se nouent entre gens très jaloux..
Un milieu sans pitié où les coups bas explosent.
Jouer avec les mots quand on parle de la fin d'un monde, c'est plus que de l'indécence envers les populations. Ce sont elles qui en sont, déjà, les premières victimes !.
Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde : https://www.youtube.com/watch?v=3GcufoPxOPA

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