Merci pour ce moment et ses désagréments,
L'ironie laisse la place à la mélancolie.
Jouer à l'Abbé Pierre avec un coeur de pierre,
Véritable tourment pour un homme qui ment.
Le mépris est de mise devant tant d'infamie,
Recours aux prolétaires gisants dans le cimetière.
Recours aux origines, à ses propres racines,
Justifier sa bonne foi quand on est aux abois,
Il faut montrer ses griffes, document apocryphe ?.
Petites phrases assassines le fait changer de mine.
Cache son désarroi et suscite l'émoi,
Oublie la chiffe molle devant tous ces sous-fifres.
La conscience de tout homme, dans ce monde politique,
Aurait-elle disparue ?. La morale mise à mal.
Par cette gauche socialiste, toujours aussi caustique,
Que nombre de journalistes trouve ça bien normal !.
Responsable pas coupable, excuse de journalistes
Qui sont bien responsable de cette grande débandade ;
Coupable de mépriser toute la France populiste,
La révolte a sonné, finit ces mascarades !.
L'égalité prônée par ministres socialistes,
Nouvelle supercherie, maladie de gauchiste,
L'injustice fiscale a gravi les étages.
Augmentation d'impôts, leur principal adage.
Les principales victimes, les épouses retraitées
Ont él'vé trois enfants, les ont bien éduqués,
Sans l'aide de l'Etat !. Pas assez cotisée,
une retraite amputée, voilà la vérité.
Que faut-il en ret'nir de cette fausse noblesse
Cette cour élyséenne qui suscite tant de haine ?.
Ils jouent les grands seigneurs dès l'élection passée.
Imbue de leur personne, ils oublient leur faiblesse.
Abusent des privilèges, véritable sans gêne.
Quand tombe la sanction, ont l'air désabusé.
zen-fiatlux.blogspot, le 11 septembre 2014
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