Les pays de zone euro sous la férule de l'Allemagne et sous l'oeil du FMI et des banquiers de Goldman Sachs

  

A la tête de la BCE, un ex-Goldman Sachs, à la tête de la Grèce et de l'Italie, des ex-Goldman Sachs, au FMI, un ex-Goldman Sachs international, M. Borges, démissionnaire au bout d'un an passé au FMI, après avoir accordé d'importants prêts à la Grèce, à l'Irlande et à son pays, le Portugal !

Dans les 17 pays de la zone euro, l'idéologie fascisante fait son chemin !. Déjà sous la houlette des allemands, elle est placée sous la surveillance du FMI et de Banquiers ex-Goldman Sachs !.

La France est dans l'oeil du cyclone des financiers. Les écarts de taux sur les obligations, ils se creusent, de jour en jour, entre l'Allemagne et les pays les plus endettés de la zone euro. Dans un mois ou deux, quels sont les pays de la zone euro qui pourront encore honorer leurs remboursements ?. Quels sont les autres pays qui sont déjà au tapis ?.

Depuis le lancement de l'euro en 1999 pour les entreprises et, en 2002 pour les particuliers, les cigales de la zone euro ont mené grand train !. Chacun des 17 pays a compté sur la solidarité des autres pour payer leur gestion insouciante et suicidaire. Il est trop tard pour éteindre l'incendie. Les pays les plus fragile n'ont plus qu'une seule issue, reprendre leur indépendance ou écraser leur peuple d'impôt et, diminuer leur revenu et les aides sociales.

La France, comme les 15 autres pays de la zone euro qui courent derrière l'Allemagne, ils s'enferment dans une situation sans issue !.

Le rachat de dettes souveraines par la BCE, le renforcement du FESF, les aides du FMI, tous ces mécanismes interventionistes ne font que repousser l'échéanche fatale d'une chute brutale du niveau de vie des citoyens de la zone euro !. De grâce, MM les parlementaires, veuillez ne pas attendre ce jour-là...!.

Les Médias TV, la Presse écrite et les Radios Dassault-Lagardère seraient-ils  déjà en ordre de marche pour soutenir Nicolas Sarkozy ?. Où sont-ils passés les journalistes "intègres", en vacances ?. Ce n'est qu'une récente  impression.


RTL
Le basque Docteur House qui réofficie sur RTL, il s'épenche sur la première radio de France dans l'émission " On refait le monde ". Jusqu'ici rien à redire. Le seul inconvénient, c'est qu'il voit des problèmes partout au PS, là où il n'y en a pas ?.


Si, si, le seul problème, c'est le parti des Verts, pas l'ASSE. Les EELV s'intéressent d'abord aux circonscriptions avant tout le reste. Pourquoi François Hollande s'est-il fait piégé ?. Avait-il besoin d'un accord aux législatives, puisqu'Eva Joly sera une concurrente à la présidentielle ?. Qui aurait effacé le paragraphe en question ?.

Mauvaises nouvelles pour la France et les français, si ça peut rassurer François Fillon, elles n'émanent pas du PS :


Paris: doit son salut à W-Street car les taux longs flambent


http://www.boursorama.com/actualites/paris-doit-son-salut-a-w-street-car-les-taux-longs-flambent-69735f3f3691b7117fd23c2ac21ddb8e


Les Emirats jugent irrecevable l'offre sur le Rafale


http://www.boursorama.com/actualites/les-emirats-jugent-irrecevable-l-offre-sur-le-rafale-5e08fbf2fc33642f6d21f22b2a089f6a


" La France mauvais élève des pays notés AAA


[...]...En matière de progrès accomplis dans la mise en oeuvre d'ajustements économiques, en particulier la réduction des déficits et la modération des coûts du travail, la France tombe à la quinzième place sur 17.
Le rapport est susceptible d'alimenter les craintes de voir la France suivre le même chemin que l'Italie, l'Espagne, la Grèce, l'Irlande et le Portugal, des pays qui sont ou ont été dans l'oeil du cyclone des marchés financiers et ont confrontés à des coûts de financement de la dette insupportables....[...]

 http://ml.capital-news.fr/l2/63ESaE70z29/5631/2935118420.html


Le FMI a annoncé dans un communiqué la démission avec effet immédiat de M. Borges, 63 ans, "pour raisons personnelles".


[...]...Cet économiste n'aura passé qu'un an à Washington, à des fonctions qui l'ont amené à superviser des prêts parmi les plus grands de l'histoire de l'institution, à la Grèce (30 milliards d'euros) et à l'Irlande (22,5 milliards), deux membres de la zone euro. Il était, conformément à la tradition du Fonds, mis à l'écart des relations avec son pays, le Portugal, auquel le FMI a accordé un prêt de 26 milliards d'euros.[...]
...
« Ce chantier est laissé inachevé par M. Borges, malgré un CV considéré idéal dans cette crise : il combinait une expérience à la Banque du Portugal où il aura été l'un des architectes de la création de la monnaie unique européenne, et une autre chez Goldman Sachs International, où il avait pu parfaire sa connaissance des marchés financiers. »

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