C'était la journée mondiale de l'eau qui fêtera ses dix ans en 2012. Ma flânerie angevine du mardi m'a entraîné vers le haut de la rue Lenepveu où, il était installé un chapiteau habillé par ALM. Chacun pouvait goûter l'eau du robinet proposé par Angers Loire Métropole.
Maquette de l'usine du traitement de l'eau des angevins
Remontant la place du Ralliement, les terrasses des cafés sont bien fournies malgré les bruyantes machines-outils à proximité !. Je poursuis mon périple plus au calme, en empruntant la rue St Maurille, rue Chevreul (collège St Martin), place Imbach beaucoup plus silencieuse que la précédente, et la rue Jules Guitton. Pendant ce parcours, j'imaginais le milanais, jardinier-évêque, le faiseur de miracles, St Maurille, le disciple de St Martin exilé volontairement en Angleterre pour expier ses fautes, particulièrement celle d'avoir perdu en mer les clefs des reliques de son église d'Angers !. En cette période de jeûne, le carême, St Maurille en faisait-il peut-être un peu trop ?Rue Jules Guitton, je rentre dans un bar-restaurant
« Le Laboureur », lieu bien connu pour son accueil, la qualité-prix de son menu du midi. Après avoir serré la main du patron Pascal, quelle surprise de découvrir la nouvelle décoration. Elle est digne de figurer dans les plus belles galeries parisiennes, voyez par vous-même ces deux dessins murals sélectionnés parmi d'autres....
C'est avec une grande émotion que j'ai lu dans le Courrier de l'Ouest de mardi, la très longue interwiev de monsieur le Maire. Je peux en témoigner, tout ce qui est dit sur l'intervention et sur les suites très douloureuses de l'ablation d'un lobe du poumon, c'est rigoureusement exact. Par contre, tout le monde n'a pas la chance d'échapper à la chimio et à la radiothérapie !. Un témoignage réconfortant, tous mes voeux de prompt rétablissement monsieur le Maire, le travail ne devrait pas manquer.., ménagez-vous.
http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr
3 commentaires:
Monsieur le premier ministre, François Fillon, perd les pédales quand il dit que la PS déverse des torrents d'insultes à l'égard de l'UMP !. Pourquoi ne cite-t-il pas une seule insulte qui aurait pu être proférée par le PS ?. Pourquoi il parle des valeurs défendues par l'UMP, sans n'en citer aucune ?.
Oui, je crois que la droite n'est plus la droite. Elle s'est noyée dans une majorité très turbulente et peu enclin à soutenir le chef de l'UMP, J.F. Copé et encore moins Nicolas Sarkozy, "le président de tous les français !"
Février alain
zen, Faut-il coucher avec le FN a dit Pierre Louis Basse sur europe ??. En extrapolant sa phrase, à europe1, il faudrait coucher pour réussir ?
Un invité a même signalé que 80% refuse le monde politique d'aujourd'hui et de rajouter que toutes les droites sont vichystes
Vendredi 25 mars 2011
http://blog.rtl.fr/aphatie/20110325/droit-de-reponse-25-03.html
« Droit de réponse accordé à Philippe Cohen et Laureline Dupont, journalistes à l'hebdomadaire Marianne »
Que monsieur Philippe Cohen se défende d'être blâmé, c'est son droit. Je serais même tenté de m'en référer à notre Beaumarchais et à son Barbier de Séville. Le lieutenant général de la police déclarait à son égard (Pierre Augustin Charon de B) : « Il ne suffit pas d'être blâmé, il faut être modeste..». Bien que je me garderais de donner des leçons de journalisme à cet éminent Philippe Cohen, je me contenterais de ce qu'il a écrit sur ses confrères et sur le journalisme :
«...L'industrie des médias à présent dominée par de grands groupes écrase les individualités. Pour autant, si les journalistes se contentent de rediffuser la même information et la même vulgate en mille éclats de voix et de phrases, ils en sont aussi responsables. Le journalisme était un métier, il est devenu, avec la complicité souvent involontaire de ceux qui l'exercent, une idéologie diffuse qui prend la forme d'un conformisme pâteux constitué d'idées trop simples et d'icônes vénérées...» Extraits du résumé de « Notre métier a mal tourné » Deux journalistes s’énervent de Philippe Cohen, Elisabeth Lévy
Morceau choisi
«...Que nous est-il arrivé ? Comment la fierté d'exercer une profession à la fois excitante et utile au bien public a-t-elle cédé la place à la vague honte d'appartenir à un troupeau - honte de véhiculer bêtement toutes les vulgates au goût du jour plutôt que de mener son travail à son idée, en toute indépendance ; honte de pratiquer une forme de communication, plus ou moins explicite ; honte d'user de la connivence ou d'en bénéficier ? [... ] chapitre : Que nous est-il arrivé ? - page : 11 -
Evene.fr
Pour une fois que nous avons un grand journaliste politique qui ne courre pas dans le sens du vent, c'est réconfortant pour la démocratie républicaine, merci monsieur Aphatie.
vendredi 25 juillet 2008
http://www.marianne2.fr/blog/Philippe-Cohen-debat-avec-Jean-Michel-Aphatie-sur-les-polemiques-du-Net_a43.html
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