jeudi 17 mars 2011

ASSURANCE-VIE, après décès du souscripteur, combien d'ayants droits récupèrent-ils leur véritable dû ?.

Ajouter le vendredi 18 mars
http://zen49.blogspot.com/2011/03/lue-bruxelles-serait-elle-devenue-le.html  

..." Une directive draconnienne de l'Union Européenne est sur le point de nous interdire de nombreux remèdes médicinaux à base de plantes utilisées depuis des milliers d'années et sans les effets secondaires des médicaments modernes issus de la pétrochimie."!...
Ne dit-on pas :
quand on veut se débarasser de son chien, on dit qu'il a la rage ?.
Le sujet de la lettre du mardi de Michel de PONCINS m'a remis en  mémoire une anecdote véridique et récente sur la récupération d'un contrat d'assurance-vie au décès du souscripteur. 

Cette souscription avait été effectuée dans une banque populaire en région PACA ; le bénéficiaire avait entre les mains un  des derniers relevés des versements éffectués par le feu souscripteur. Vous avouerez que la suite ne manque pas de piquant ni de transparence !.

Quelques temps après le décès, le bénéficiaire de cette assurance-vie réclame son dû par lettre A/R à l'adresse de l'assurance indiquée au bas de ce dernier relevé. Trois semaines plus tard, retour à l'expéditeur avec mention " N'habite pas à l'adresse indiquée". Plus fort encore, dans une banque populaire proche du domicile du bénéficiaire de ce contrat, il s'est révélé impossible d'obtenir l'adresse de l'assurance !. Après une nouvelle insistance, cette agence indique qu'il faut téléphoner au siège de la banque à Bordeaux, pour obtenir cette fameuse adresse. Effectivement, leur compagnie d'assurance-vie avait déménagé "Quai de la rapée à Paris"!.

Re lettre recommandée à cette nouvelle adresse, quinze jours plus tard, enfin une réponse de cette compagnie d'assurance qui demande de remplir un formulaire et de justifier de la qualité du bénéficiaire. Chose faite et papiers renvoyés, réponse un peu plus d'une semaine après,  l'assurance indique la somme de cette assurance-vie sans d'autres explications. Cette somme est plus de quatre fois inférieure à celle indiquée sur les derniers relevés en possession du bénéficiaire !. Avec l'aide d'un avocat, du notaire en charge de la succession, la réponse de la banque populaire émettrice de ce contrat a été : " il y a eu des rachats !".

Elémentaire mon cher Watson, par l'intermédiaire de l' avocat et du notaire, le bénéficiaire demande la date de ces rachats, le souscripteur étant grabataire !. Réponses de l'avocat et du notaire, " la banque ne veut pas les fournir et, elle n'en a pas l'obligation ?".

Le bénéficiaire de cette assurance-vie a fini par rendre les armes et, il a accepté le quart de la somme mentionnée sur le relevé de l'assurance-vie qui lui avait été transmis du vivant du souscripteur !.

Tout le monde n'a pas la chance de s'appeler Tapie...

Aurez vous toujours autant confiance dans vos banques...?.

En son temps, ce bénéficiaire avait reçu un papier écrit manuellement par le (feu) souscripteur de cette assurance-vie. Il mentionnait que son banquier "populaire" lui avait dit que ce contrat d' assurance-vie était en béton ! ( il ne devait pas être armé ce béton par contre la banque pop avait fait le nécessaire en matière de béton !)


DEFICITS ET ASSURANCE-VIE

« L'assurance-vie est victime de l'incertitude fiscale : c'est le titre d'un grand journal. Il aurait pu écrire : l'assurance-vie est victime des déficits publics car l'incertitude fiscale est la fille de ces déficits.


La caractéristique essentielle du système Sarkoziste, comme de tout système socialisant, est de dépenser à tout va et, donc, de creuser en permanence les déficits publics ; de ce fait, dans tous les couloirs des ministères, les énarchos-socialos galopent à la recherche de ressources nouvelles et l'assurance-vie se présente comme une mine à explorer. Leurs prédécesseurs ne se sont pas gênés depuis longtemps pour y puiser puisque le paradis fiscal de ces contrats à été violé sous prétexte des prélèvements sociaux et ceci, dans une complexité impossible à décrire. »

HISTORIQUE

Un bref rappel nous remettra en mémoire ce qu'est l'assurance-vie.


...la suite sur

http://diaconescotv.canalblog.com/archives/2011/03/14/20635509.html  

«...« Lord Melbourne, Premier ministre de la Reine Victoria disait : « Le premier devoir du gouvernement est d’empêcher le crime et d’assurer l'exécution des contrats. »


Nous en sommes décidément très loin. »


Michel de Poncins

http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr

1 commentaire:

boursicoteur a dit…

Lundi prochain, l'ETAT va encore faire un nouvel emprunt de 8,5 millirds ?

" L'Agence France Trésor (AFT), qui gère la dette française, va procéder lundi à l'adjudication de bons du Trésor à taux fixe et intérêts précomptés (BTF) sur les lignes à 13, 24 et 50 semaines pour un montant total de 8,5 milliards d'euros, selon un communiqué publié jeudi..."
Boursorama-AFP

boursicoteur