vendredi 27 juin 2014

Le peuple est sacrifié pour entretenir une Cour de politiques et de Hauts fonctionnaires. A Bruxelles, à Strasbourg, les eurocrates se gavent... jusqu'à quand... la prochaine guerre ?.

 

La France est sous tutelle, les politiques s'en moquent,
Amoncellement de dettes, plus de planche à billets,
La France est dépendante d'une Allemagne insolente.
Dusseldorf imposera la reddition des comptes.
Le refus de la France, d'un Etat insoumis,
Demain ou après-demain, la BCE les bloquent.
Qu'adviendra-t-il alors, l'euro sera désuet,
L'europe vole en éclat, révolution latente.
La déroute bancaire, chacun vide ses comptes.
Silence des médias, politiques démunis !.

Plus cinq millions de chômeurs, France dans la torpeur.
Train de vie de l'Etat, la multitude d'élus,
Qui alimentent les dettes, augmentent les déficits.
La France en déflation, pouvoir d'achat se meurt,
Economie possible, la réduction d'élus.
Il faut trancher dans l'vif, on coupe dans les crédits.

La France des politiques, bercail de fonctionnaires,
Qui rassemble les castes des ennemis du peuple.
Beaucoup trop de ministres, de secrétaires d'Etat,
Beaucoup trop de sangsues, d'attachés, conseillers,
Trop de parlementaires, députés, sénateurs,
Trop de planques obsolètes pour de Hauts fonctionnaires,
Beaucoup d'Institutions utilent comme garde-meubles,
Beaucoup de tours d'ivoire, de refuges d'apostats,
Trop d'élus provinciaux, d'expertises enterrées
Dans ces couches politiques, ils ont leurs détracteurs.


" Si nous sommes sans colère quand nous voyons les autres bafoués, exploités, humiliés, il est clair que nous ne les aimons pas." L'Abbé Pierre.

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