D-Day du 6 juin 2014 va réveiller de nombreux souvenirs : Commémorations, manifestations, reconstitutions, Drapeaux, bannières et oriflammes, drapeaux nationaux et des unités militaires, fanfares et musiques militaires, collections de médailles commémoratives.
Entre les 5 et 7 juin prochain, pas moins de 19 chefs d'État et de gouvernement étrangers vont participer à 21 cérémonies réparties sur les trois départements de Basse-Normandie, en particulier dans le Calvados et dans la Manche
En Basse-Normandie, c'est le branle-bas de combat pour ce 70ème anniversaire du D-Day. De 5 au 7 juin, une vingtaine de chefs d'Etat et des représentants de pays étrangers vont faire le déplacement. Bien sûr que ces trois jours de commémorations vont gêner les normands. Faut-il, pour autant, en oublier notre Histoire et ces milliers de morts, américains, anglais, canadiens et français libres ?. Les vastes cimetières de croix blanches sont la marque de notre reconnaissance à ces jeunes soldats des troupes alliés. Sans eux, que serions-nous devenus ?.
Discours du général de gaulle à la radio de Londres, 24 juin 1940
« Beaucoup de français n'acceptent pas la capitulation ni la servitude pour des raisons qui s'appellent : l'honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la Patrie »
Mémoires, t. III, le Général de Gaulle écrit : «... Valeurs militaires, vertu des armes, peines et services des soldats, il n'y a point sans cela de pays qui se tienne ou qui se remette debout. De tous temps, notre race a su fournir ces richesses à foison. Mais il y faut une âme, une volonté, une action nationale, c'est-à-dire une politique.»
1944, l'Europe se libère, La France est libérée. 70 ans après, L'Europe, de la zone monétaire, est de plus en plus dépendante d'une Allemagne florissante. Cette Europe des 18, elle ne protège pas d'un conflit ultérieur, ni de rivalités internes.L'Ukraine attise les haines entre Russie-Etats-Unis devant une Europe impuissante !. Nouvel ordre mondial se définit ainsi : Asie-Etats-Unis-Russie !.
Lors d'un entretien télévisé avec Michel Droit, le 14 décembre 1965, le Général a eu cette répartie : « ...Il faut prendre les choses comme elles sont, car on ne fait pas de la politique autrement que sur des réalités. Bien entendu on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant : « L'Europe !, L'Europe !, L'Europe ! », mais cela n'aboutit à rien et cela ne signifie rien ».
Une partie de mon inspiration pour ce D-Day
On ne les oublie pas, les "poilus" de 14-18
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