mardi 11 février 2014

"Une information malade, c'est une démocratie en danger". Paris-Angers : Souvenirs d'emplois fictifs et d'abus de biens publics








Leurs mots et leurs expressions enveloppés, cachent-ils la réalité d'une situation ou servent-ils à la déguiser ?. Où se trouve-t-elle la véritable signification ?.

« Une information malade, c'est une démocratie en danger » Ouest-France, 2007.

Cette maxime tient toute sa place aujourd'hui.

Tout le monde le crie, haut et fort, « La presse va mal ». A mon avis, cette maladie est devenue incurable. Les mots ne veulent plus rien dire puisque nos chefs de rédaction, nos hommes politiques, ils sont soumis à l'épreuve de la communication aseptisée. Rien ne se dit, rien ne s'écrit sans avoir été briefé par une flopée de communicants !. A force de triturer les mots et les expressions, l'originalité en prend un sérieux coup. Par exemple : ils ont commis des incivilités [en fait, ils ont fracturé, brûlé, pillé...], la compétitivité [sous-entendus, baisse du coût du tavail, baisse des salaires et des charges, restructurations-licenciements, baisses du pouvoir d'achat et des retraites du privé...]. Déjà que notre système d'apprentissage de la lecture et notre modèle de la comprenette ont subi un violent recul, comment faire croire en l'avenir à ces dizaines de milliers de jeunes ?. Quelles en seront les conséquences qui en découleront ?.
Oui, l'information est vraiment malade.


Un de mes commentaires (2007) que j'adressais à FR3, sous le pseudo Pack49 : "...Innocent, nous le serions tous ?. L'esprit souffle où il veut et, en ce moment, sur le premier de nos personnages politiques. Comment mettre en doute la parole d'un juge ?. Comment ne pas oser critiquer la corruption "républicaine" qui n'épargne et ne respecte rien, ni personne ?.......[...]"

"Emplois fictifs...Pourquoi pas aller éplucher les comptes des sociétés qui financent les nombreux emplois fictifs de leurs permanents syndicaux, par exemple !....Que dire des rémunérations, baptisées indemnités, qui sont versées par le biais des caisses de retraites complémentaires, des organismes de formations professionnelles, du Conseil économique et social, des OPAC HLM et (organismes) logements dits sociaux.."

"Un exemple criant : un directeur d'une régie de transports qui employait, pendant des années, à son domicile, des jardiniers, des ouvriers....[...]...." L'intégralité du commentaire, c'est ici :


Ont-ils changé ?

Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?

Aucun commentaire: