" Je ne sais pas ce qu'est la conscience d'un sot, mais celle d'un homme d'esprit est pleine de sottises."
« La lutte contre la corruption n'est pas une priorité politique en France - Il est temps qu'elle le devienne ! »
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- Les partis politiques doivent enfin ériger la lutte contre la corruption en véritable priorité et aller ainsi bien au-delà des habituelles réformes symboliques motivées par les affaires. La société civile, au sens large, doit se mobiliser pour susciter ce sursaut indispensable au rétablissement de la confiance des citoyens dans leurs institutions.
- Mieux sensibiliser les Français aux enjeux et solutions de la lutte contre la corruption en introduisant ce thème dans les programmes d’éducation civique et en donnant une meilleure visibilité aux travaux d’institutions telles que le Service Central de Prévention de la Corruption (SCPC) ou la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) [1].
- Instaurer la publication de déclarations d’intérêts précises à tous les niveaux de la décision publique (élus locaux et nationaux, membres du gouvernement, membres des cabinets ministériels et fonctionnaires d’autorité) et consacrer l’obligation de s’abstenir de participer à une décision publique en cas d’intérêts personnels liés à la question abordée.
- Encadrer le lobbying et assurer sa transparence à tous les niveaux de la décision publique.
- Garantir au sein de l’administration la protection des lanceurs d’alerte contre toute forme de représailles.
- Le contrôle citoyen ainsi que la participation citoyenne à l’élaboration de la décision publique doivent être encouragés. Cela passe notamment par une amélioration du dispositif français sur le droit d’accès à l’information....
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Courriel : fevrieralain@hotmail.fr
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