Monarque
de l'Élysée, le pouvoir de grâcier,
Affligeante
décision qui trouble l'opinion.
Magistrats
et Jurés par deux fois déjugés,
Cours
d'Assise méprisées par des associations,
Femen
et féminisme seraient-elles un danger ?.
Décision
politique pour cause d'élections,
Peuple
en effervescence, la Justice est bafouée.
Le
pouvoir socialiste joue sur les émotions !.
Attendre
quarante sept ans pour se faire justice,
N'est-ce
pas très inquiétant pour la démocratie ?.
Message
femmes battues, victimes de sévices,
Vous
tuez votre bourreau, demandez l'amnistie.
C'est
la remise en cause d'une décision de justice.
Ce
pouvoir excessif digne d'une monarchie,
Pouvoir
de vie, de mort, n'est ce pas une injustice
Au
vingt et unième siècle, à bas cette tyrannie.
Alain
Février, lundi 1 février 2016.
Le
Conseil Constitutionnel a été créé en 1958 pour veiller à la
régularité des élections et des référendums et, à la
conformité à la Constitution des lois organiques...
Discours
prononcé par M. Edouard Balladur,
le 19 novembre 1993, devant
le Congrès (extrait)
Mesdames,
messieurs, permettez-moi de vous y rendre attentifs, pour la première
fois dans notre histoire, le pouvoir constituant se réunit pour
permettre le vote et la promulgation d'une disposition législative
censurée par le Conseil constitutionnel.
Cette
situation est inédite. Elle mérite à coup sûr, quelque réflexion.
Vous conviendrez avec moi que le lieu et la circonstance s'y prêtent.
Depuis que le Conseil constitutionnel a décidé d'étendre son
contrôle au respect du préambule de la Constitution, cette
institution est conduite à contrôler la conformité de la loi au
regard de principes généraux parfois plus philosophiques et
politiques que juridiques, quelquefois contradictoires et, de
surcroît, conçus parfois à des époques bien différentes de la
nôtre.
Certains
pensent même qu'il lui est arrivé de les créer lui-même. Plutôt
que de laisser au législateur un large pouvoir d'interprétation de
ces principes, le Conseil constitutionnel a préféré en définir
lui-même et très précisément le contenu et indiquer au
Gouvernement et aux juges administratifs ou judiciaires comment la
loi votée par le Parlement doit être appliquée, allant parfois
loin dans le détail.
Quoi
qu'il en soit, j'insiste sur ce point : de la même manière qu'il
est légitime pour le pouvoir législatif de préciser à l'intention
des juges administratifs ou judiciaires le sens d'une loi, il est
légitime pour le pouvoir constituant, dont vous êtes les
dépositaires, de dire lui-même quel est le contenu exact d'une
disposition constitutionnelle. Nul n'est aussi qualifié que lui,
c'est-à-dire que vous, pour le faire.
J'ai
dit ici même, le 16 juillet dernier, qu'il ne me paraissait pas
opportun de nous engager dans une nouvelle réforme des institutions.
Le Gouvernement a d'autres priorités : le redressement intérieur et
extérieur de la France, la sauvegarde de la protection sociale, la
sécurité.
Mais,
aujourd'hui, c'est le Conseil constitutionnel qui nous contraint à
revenir devant vous, non pas pour modifier nos organes
institutionnels, mais pour respecter les engagements que nous
avons pris devant les Français sur un point essentiel-la maîtrise
de l'immigration - afin de respecter aussi nos engagements
internationaux souscrits, je le rappelle, il y a deux ans. Pour
cela, force nous est de vous demander de dire vous-mêmes, en dernier
ressort et dans l'exercice de votre souveraineté, quelle est la
liberté d'action dont peut disposer le législateur.
Ce
que nous vous demandons, c'est de décider que notre action est bien
fidèle aux principes fondamentaux de la République, de décider
qu'en entendant respecter à la fois les droits de l'homme et les
droits de la nation elle est fidèle à l'histoire de la démocratie
dans notre pays.
NB.
M. Robert Badinter, président du Conseil constitutionnel, a répondu
à cette mise en cause du Conseil dans un article du Monde en date du
23 novembre 1993.
L'Hémicycle,
un théâtre, refuge de grognons,
Qui
offre aux citoyens éloquence, métaphore.
L'abus
de citations pour berner l'opinion,
Députés
sont muselés par leur Esprit de corps.
3 commentaires:
Monarque de l'Élysée, le pouvoir de grâcier,
Affligeante décision qui trouble l'opinion.
http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2016/02/le-pouvoir-socialiste-joue-sur-les.htm
On se moquerait du peuple, on ne ferait pas pire !
Dernière nouvelle : les 2 avocats et les 2 filles de la tueuse grâciée par le monarque, ce soir, ils mangeront à la table de François Hollande en compagnie de Fidel Castro !.
Tout est bon en politique comme dans le cochon !.
Mise à jour des invitations à la table de Fidèle Castro !. Communication élyséenne, dans les milieux informés, l'invitation des deux avocats et des 2 filles à la table de Castro est une erreur de communication !. C'est une belle démonstration de la politique socialiste !.
Bailleurs sociaux, nouvelle escroquerie écologique, l'installation d'un compteur sur chacun des radiateurs dans les 5 millions de logement loués !. Cette augmentation déguisée serait facturée au locataire à laquelle s'ajoute la location mensuelle, peu importe l'exposition du logement à l'Est ou à l'Ouest !. Avis aux futurs locataires, on ne vous dit pas que la température varie de plus ou moins 2 degrés !. Choisissez bien l'emplacement de votre logement.
MM les bailleurs sociaux, qu'en avez-vous fait des subventions européennes, départementales, régionales, versées au titre de l'isolation des façades de vos logements ?.
Bien sûr, politiques et médias ne vous le diront pas !.
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