samedi 4 mai 2013

"RETRAITES : LE DÉSASTRE ANNONCE", Guéant, Fiston Fabius, Municipales, un an Hollande....



" C'est reparti pour un tour de manège car les nouvelles sont mauvaises. Elles ne pourraient être autrement, le pouvoir socialiste par idéologie et intérêt personnel voulant à tout prix sauver la répartition, véritable idole du pouvoir  politico-médiatique. Ce faisant, il condamne la capitalisation seul moyen connu  de sauver les retraites. Dans ce tour de piste, il ne touche pas aux retraites scandaleuses des ministres et des élus."

Tocqueville Magazine
LE FLASH

RETRAITES : LE DÉSASTRE ANNONCE

C'est reparti pour un tour de manège car les nouvelles sont mauvaises. Elles ne pourraient être autrement, le pouvoir socialiste par idéologie et intérêt personnel voulant à tout prix sauver la répartition, véritable idole du pouvoir politico-médiatique. Ce faisant, il condamne la capitalisation seul moyen connu de sauver les retraites. Dans ce tour de piste, il ne touche pas aux retraites scandaleuses des ministres et des élus.
Il promet une grande parlotte nationale à l'automne pour soi-disant résoudre le problème. De telles parlottes avec leurs coûts extravagants ont-elles jamais résolus des problèmes ? Sarko avait déjà convoqué une grande parlotte sur le sujet.
Les vraies solutions seront cachées sous le tapis. Nous aboutirons donc au replâtrage habituel : taper sur les pensions, sur les entreprises en majorant les cotisations et reculer sournoisement l'âge de départ. Le replâtrage s'accompagnera d'un ouragan de désinformation publique pour faire avaler la pilule
L'ensemble avec une forte odeur d'usine à gaz jouera sa partition dans la ruine du peuple français sous les coups de boutoir permanents du pouvoir en place.
LA REPARTITION
Le système est présenté comme généreux et il ne l'est pas. On prétend parfois que c'est un contrat intergénérationnel : les versements d'aujourd'hui reposent sur l'espoir de recevoir ultérieurement une pension, ce qui est un autre mensonge ; un contrat doit être débattu et signé avec des sanctions : ici aucune négociation mais seulement un coup de force, les assujettis étant conviés sans ménagement à payer. La répartition fut instituée brutalement au sortir de la Libération par un gouvernement proche du communisme. Elle ressemble étrangement au système Madoff ; les premiers gagnent beaucoup ; il me souvient que lors de la nationalisation des compagnies d'électricité les EDF eurent la divine surprise de voir leur future retraite faire un bond spectaculaire. Les derniers, comme chez Madoff, n'auront plus grand chose le système s'écroulant sur lui-même lentement et logiquement.
Entre temps et quand une des caisses a des problèmes les gouvernements ne se gênent pas pour aller piller une autre caisse ! Il y eut depuis quelques années de véritables « casses » au profit de certains mammouths publics du type RATP dont la caisse était en péril. ARRCO et AGIRC ont été priés sans ménagement et parfois dans le secret d'avaler les catastrophes. La gestion de la répartition enchante les partenaires sociaux qui y trouvent aussi bien du côté patronal que syndicaliste de fastueuses prébendes. Évoquer la gestion est un grand mot. L'argent arrive à grands flots grâce à la force publique. Il sort selon la bonne volonté des pouvoirs qui se succèdent soit dans la politique, soit chez les partenaires sociaux. Il est tributaire de la démographie. Le vrai drame d'aujourd'hui vient en partie de l'allongement de l'espérance de vie.
Venons-en à son défaut essentiel. Il ne crée pas de richesse. C'est de l'argent qui est dilapidé aussitôt que prélevé par une sorte de vases communicants. Pour payer les retraites, il faut et il suffit de créer de la richesse.
LA CAPITALISATION

A maints égards c'est le contraire de la répartition.
Elle repose sur des contrats librement débattus. Ce peut être des contrats individuels ou collectifs dans le cadre d'entreprises. Il est évidemment indispensable que les épargnes accumulées pour l'avenir bénéficient du même statut fiscal et social que les cotisations versées par force dans la répartition.
Dans le cas le plus général, il existe des gestionnaires pour gérer les épargnes. Aux épargnants de choisir les meilleurs qui soient adaptés à leurs objectifs. Une bonne organisation implique que chacun connaisse en permanence la valeur de son épargne compte tenu des bénéfices de la gestion.
La sortie est prévue contractuellement. Ce peut être une rente ou un capital à toucher immédiatement. Ce point est une supériorité considérable par rapport à la répartition. Des calculs précis on été réalisés sur l'enrichissement des épargnants dans le cadre de la capitalisation ; ces calculs reposent sur un rendement de 4 % ce qui est plutôt prudent ; ils montrent que les épargnants accumuleraient une richesse considérable sous forme de capital ou de rente.
La capitalisation crée de la richesse et de la sorte irrigue tout le corps social. La richesse ne repose jamais sur la consommation comme veut nous le faire croire la propagande officielle. Elle ne vient que du capital accru lequel est étroitement associé au travail. Les nombreux pays qui sont passés à la capitalisation ont constaté de fortes croissances du PIB.
Il y aura des objections. La principale est de risquer de tout perdre avec un mauvais gestionnaire. Il est sûr que la sagesse des nations recommande de ne pas mettre ses œufs dans le même panier. Il est recommandé aussi d'exiger du gestionnaire des règles prudentielles. Cela n'empêche certes pas les accidents mais dans la répartition la ruine est certaine et s'inscrit dans les faits.

LA TRANSITION

Plusieurs pays sont passés de la répartition à la capitalisation. Il faut gérer la transition sans nuire aux droits acquis des cotisants de la répartition. Le Chili y est parvenu avec un effet important sur le PIB. D'autres pays avec des méthodes adaptées à chaque cas l'ont aussi mené à bien
MICHEL de PONCINS
Les populistes méprisés par Moscovici et par le PS, que va-t-il leurs rester aux prochaines élections, les bobos ?
Affaire Guéant : Valls lance une enquête sur les primes de l'Intérieur
"......après mai 2002 et que des primes en espèces auraient été attribuées». «L'usage légitime des frais de police, officiellement dénommés “frais d'enquête et de surveillance”, doit être strictement contrôlé», ajoute la Place Beauvau. Qui poursuit: ces frais sont «destinés à combattre efficacement certaines formes de délinquance ou de criminalité», à «rechercher du renseignement, rémunérer des informateurs» et à «financer certaines investigations, qui ne peuvent pas toujours s'effectuer dans le cadre des procédures comptables habituelles, sous peine que les policiers enquêteurs soient immédiatement repérés». «La préservation de la légitimité de ces moyens d'action exclut toute dérive quant à la destination de ces fonds et à la rigueur de leur gestion»,"...
Hôtel des Pénitentes à Angers, loin de valoir plus sept millions d’euros !.
" Cette fois-ci nous indique le média français il s’agirait d’une escroquerie envers le Fisc qui n’aurait pas eu vent de l’achat par l’intéressé d’un bien immobilier de plus sept millions d’euros (je vous en prie…)."
L'UMP-PS s'affronte au tennis sur une surface tapissée de billets de banques. La moralité prêchée par Hollande et Peillon vole en éclat. C'est du pipeau comme la promesse 31 qui a occupé le terrain parlementaire socialiste pendant plus de 4 mois pour faire plaisir au trésorier de campagne de François Hollande et au sponsor de la campagne Présidentielle de Ségolène Royal.

Golf du Morbihan

Morbihan, mystérieuses landes (Gérard Jaffrès)


Elections Municipales en mars 2013


Conseil municipal de Novembre 2011, maire JC Antonini, 1ère adjointe Mme Caillard-Humeau 

Jean-Luc Rotureau, [à la gauche du maire sur la photo], quitte le PS local angevin. Retour sur Angers Télévision, le joujou du nouveau-maire, Frédéric Béatse a bien trompé son monde sur le financement de son joujou "électoral". Combien ça va coûter aux contribuables angevins puisque les supposés actionnaires de cette télé du maire, [qui émet 1heure de direct/jour !],  se seraient désistés, La Tribune, la CCI et le Conseil Général... ?.


Un an de présidence Hollande et d'un gouvernement Ayrault, au bilan : les français n'ont jamais été autant divisés par cette politique socialiste, injuste, catégorielle, communautariste et anticléricale. Un constat s'impose de fait : parlementaires, hauts-fonctionnaires, députés européens se moquent totalement de la crise qui ne les touche pas personnellement.

Angers-Ouest, vue du Château, "le bout du monde"
http://zen49.blogspot.com/

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