vendredi 9 septembre 2016

Insultes et perfidies sur les télés publiques, Journalistes, imposteurs, quelle mouche les a piqués ?

Image d'archive de #ONPC,
première mouture Zemmour, Naulleau

Insultes et perfidies sur les télés publiques,
Journalistes, imposteurs, quelle mouche les a piqués ?
Sont-ils tous au service de nos pouvoirs publics ?.
Citoyennes, citoyens, vous n'êtes plus respectés !.

De nombreuses questions sont restées sans réponse.
France 2 et France Inter jouent sur les deux tableaux.
Socialisme, masochisme, ces médias qui s'enfoncent
Dans les insanités, se gaussent des nationaux.

"100 connards sur twitter emmerdent" Laurent Ruquier.
Son adjudant Yann Moix atteint son paroxysme
Avec son dépotoir, dans « On est pas couché »
«Twitter pue l'extrême-droite».., adepte du spinozisme.

Cette espèce de bouffon alimente les haines.
Ces messieurs «Je sais tout» manquent de modestie.
Ces propos, chers Messieurs manifestent une gêne.
Les bornes sont dépassées, faites donc une amnistie.
Alain Février, vendredi 9 septembre 2016


Avec la décision des Britanniques de se délier de l’Union européenne, l’été avait commencé sous les meilleurs auspices pour les patriotes.

Comme en France, la politique britannique s’organise désormais autour de deux camps : d’un côté les défenseurs de la souveraineté nationale, de l’autre les partisans de la soumission à l’Union Européenne, avec son cortège de conséquences : pauvreté, chômage, immigration massive, terrorisme,...

Les européistes, déconnectés des préoccupations du peuple des dires mêmes d’un journaliste français, sont prêts à tous les mensonges pour décrédibiliser les patriotes. C’est ainsi que, des mois durant, la stratégie utilisée par les partisans du Remain a été celle de la peur : en cas de victoire du Brexit, le Royaume-Uni se retrouverait coupé du monde, replié sur lui-même, les étudiants et les touristes auraient d’insurmontables difficultés à s’y rendre, l’économie britannique s’effondrerait et la City délocaliserait ses activités.

Les mensonges n’ont pas pris et les Britanniques ont fait le choix, avec une majorité confortable, de s’évader de la prison européenne et de retrouver leur liberté.
Pas d’apocalypse en vue, l’économie britannique ne s’était d’ailleurs pas si bien portée depuis longtemps.

La dévaluation modérée de la livre sterling a donné un coup de pouce aux exportations et au tourisme, la City reste à Londres, la consommation est en hausse, la confiance ne s’est pas érodée, le chômage baisse, le Royaume-Uni négocie de nombreux accords commerciaux extra-européens, les subventions européennes seront intégralement remplacées par des subventions nationales, le pays économisera même 7 milliards d'euros par an…


Une fois de plus, les européistes avaient tout faux ! Mensonge ou mauvaise foi, qu’importe. Les mêmes arguments seront utilisés à l’encontre des patriotes français durant la campagne présidentielle, et l’exemple britannique nous permet de faire la démonstration du caractère fallacieux de leurs raisonnements.

En 2017, les Français seront appelés à faire un choix crucial : élire un représentant de la province européenne France ou voter pour le camp des patriotes, celui de la France libre, le camp de ceux qui souhaitent que nous nous extirpions du carcan européen pour reprendre notre destin en mains, pour gagner notre indépendance et agir dans le sens de l'intérêt national en coopération avec les pays d'Europe et du monde.

Je vous donne rendez-vous en mai et juin prochains et compte sur vous !

Patriotiquement,

Florian PHILIPPOT
Vice-président du Front National

« La politique : fais-en, si tu trouves que les journaux en dégoûtent... Comme on serait meilleur sans la crainte d'être dupe » Jules Renard  

Bon sens ne peut mentir jusqu'au dernier soupir.
Journalisme fait souffrir, loyalement sans mentir.
Qui ne dit mot consent cette politique du pire.
Médias et politique, ils jouent la même satire.
[...]

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