C'est
le mot à la mode « mettre du lien social »
Vivre
ensemble à tout prix, un cycle infernal
Que
vous ont concocté Matignon, l'Élysée !.
Vous
êtes leurs otages, juste bon pour payer.
Faudrait
faire en urgence la réforme nécessaire,
Mais
les traités signés ne peuvent être reniés.
Vos
ministres de tutelle et vos parlementaires,
Contraints
par une Europe, obligés d'accepter.
La
France est dirigée par une Commission,
Par
une Banque Centrale, bunker sécurisé,
Allemagne
déplace ses pions selon les conditions.
Plus
de souveraineté, les Français sont piégés.
Plus
de planche à billets, l'absence de croissance,
Le
chômage qui explose, que reste-t-il alors ?.
La
baisse des revenus, c'est leur unique chance,
Revoir
tous les acquits obtenus au prix fort.
Vos
élites politiques auront-ils le courage
D'oser
dire que la France est soumise à Bruxelles.
Journalistes
et médias accompagnent ce naufrage.
La
libre concurrence, régression continuelle,
La
bonne définition, récession, répression,
La
Liberté s'arrête où commence celle d'autrui.
La
France est prisonnière de son immigration,
Discours
sécuritaire, juste pour faire du bruit.
La
France est impuissante, face à cette situation.
Corruption
florissante des mœurs et de l'esprit,
Les
Français sont victimes de leur passivité.
Le
soulèvement est proche, les urnes vont parler.
Alain Février, vendredi 11 mars 2016
« Loi « Travail »: désastre et mascarade »
PAR
JACQUES
SAPIR
·
8 MARS 2016
[…] " Mais, une baisse des salaires est TOUJOURS plus douloureuse qu’une
dépréciation de la monnaie car les loyers et les frais bancaires
eux restent fixes."
[...] " La réponse tient en quelques mots : leur attachement fanatique en l’Euro et, au-delà, en une Union européenne dont il est aujourd’hui évident qu’elle est à bout de souffle et qu’elle a épuisé tout son potentiel, si tant est qu’elle en ait jamais eu. Le rôle de l’Euro dans cette mascarade que l’on appelle la « loi Travail » est évident. Tous les manuels de macroéconomie disent que quand on ne peut plus user de la flexibilité du taux de change, ce sont les salaires qui doivent devenir flexibles, autrement dit c’est sur les salaires que portera l’essentiel de l’ajustement. Et c’est très précisément ce qu’organise cette loi. On voit bien qu’en fragilisant toujours plus la situation des salariés dans l’entreprise, elle aboutira à faire baisser les salaires des plus fragiles, c’est à dire des plus démunis. La destruction du Droit du Travail est un préalable à cela, et une fois ce Droit démantelé rien ne s’opposera plus à la baisse des salaires, et par conséquence à l’augmentation des « travailleurs pauvres » comme en Allemagne aujourd’hui.
[...] " La réponse tient en quelques mots : leur attachement fanatique en l’Euro et, au-delà, en une Union européenne dont il est aujourd’hui évident qu’elle est à bout de souffle et qu’elle a épuisé tout son potentiel, si tant est qu’elle en ait jamais eu. Le rôle de l’Euro dans cette mascarade que l’on appelle la « loi Travail » est évident. Tous les manuels de macroéconomie disent que quand on ne peut plus user de la flexibilité du taux de change, ce sont les salaires qui doivent devenir flexibles, autrement dit c’est sur les salaires que portera l’essentiel de l’ajustement. Et c’est très précisément ce qu’organise cette loi. On voit bien qu’en fragilisant toujours plus la situation des salariés dans l’entreprise, elle aboutira à faire baisser les salaires des plus fragiles, c’est à dire des plus démunis. La destruction du Droit du Travail est un préalable à cela, et une fois ce Droit démantelé rien ne s’opposera plus à la baisse des salaires, et par conséquence à l’augmentation des « travailleurs pauvres » comme en Allemagne aujourd’hui.
Dire
que tout ceci est fait pour permettre un meilleur accès à l’emploi
est un énorme mensonge et, si nos gouvernants étaient similaires à
Pinocchio leurs nez traverseraient les murs des palais de la
République. Un chef d’entreprise n’embauche que s’il a des
possibilités d’accroître son volume de production, et s’il
pense que cet accroissement sera (relativement) durable. C’est
par la demande et non par l’offre que l’on s’attaque à la
question du chômage en période de déflation." [...]
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