Mes
meilleurs voeux pour 2016.
Une
coutume ancestrale, la formule consacrée
Ces
vœux sont présentés dès le premier janvier ;
Joie,
bonheur et santé, travail, prospérité !.
Bien
que la perspective d'un avenir compromis,
On
peut toujours rêver d'un nouveau paradis.
Ce
choix est cornélien, savoir qu'ils ont menti.
Je
me plie aux usages, vous présente les miens.
À
tous les amoureux de la France, des Français,
Je
souhaite un bon accueil dans ce pays chrétien.
Immigrés,
clandestins, vous êtes insatisfaits,
L'eldorado
français, c'est un rêve, une chimère,
Propagande
d'utopistes, d'eurocrates nantis,
Ces
menteurs éhontés les mènent dans la galère.
La
Fondation Schuman recueille tout mon mépris.
Franc
Fort contre Franc Mark, mort des industriels,
L'Allemagne
bénéficiaire explose nos industries.
Le
comité Delors souhaite la monnaie unique.
L'œuvre
de l'euro-deutsche a créé cette panique.
Politique
du veau d'or, un nouveau dieu est né,
Commission
corrompue, zone euro accablée
Bruxelles
les soutient ces lobbys sont puissants
Qui
provoquent le chaos, le trafic des migrants.
Pour
l'année 2016, si le bon Dieu m'entends
Viens
à notre secours, avant l'Apocalypse.
Le
cynisme politique dans tous les Parlements
Ce
n'est plus supportable, j'implore votre éclipse.
Alain
Février, mercredi 30 décembre 2015
Désœuvrés,
«surbookés», quotidien de chacun
Faire
semblant d'être bien devant tous ces voisins,
Dans
cette société, pas de temps pour penser,
Le
paraître, être chic, signes de modernité,
Miroir
aux alouettes devant des glaces sans teint,
Les
académiciens préfèrent Pline l'Ancien.
Depuis
quelques années, les jeunes ont bien changé.
La
faute aux gouvernants, à tous ces bien-pensants,
Ils
sont tous responsables devant l'humanité,
D'avoir
«customisé» l'enseignement des enfants.
Avant
que tout s'effondre, privés d'identité,
Dénonçons
ces folies, tous ces bouleversements,
Nous
devons s'opposer à ces insanités.
Chroniqueurs,
journalistes, médias ou magazines,
Sont-ils
indispensables ou trop envahissants ?.
Course
à la surenchère, à la chaîne, à l'usine,
La
concurrence est rude, contamment dans l'urgent,
Il
arrive, trop souvent, d'en négliger l'éthique
Pour
conforter sa place auprès des politiques.
Chers
amis, attention, ne perdez pas le fil,
Vos
écrits, vos propos, ils sont analysés.
Par
le biais d'internet, vous êtes sur le grill.
Et
au moindre faux pas, vous êtes très critiqués.
Perdez
pas votre temps à dénoncer ces gens,
Internautes désœuvrés ou trop bien informés,
Réveillez
la conscience de tous les inconscients.
Le
bon sens des énarques aurait-il disparu ?.
Chahut
dans l'Hémicycle, un climat délétère
Envahit
les travées, les scènes sont grotesques.
Réactions
de colère entre parlementaires,
Le
mythe de Babel plane sur tous les élus.
Peuple
ne supporte plus ce spectacle burlesque.
L'infantilisation
de la population
Démission
des familles devant leurs rejetons,
L'école
incriminée pour l'absence d'instruction,
La
faute est collective dans notre société.
Le
respect, la morale, la vie en société,
Parents
et enseignants doivent être sollicités,
Toutes
ces dernières années, le peuple est ignoré.
Leur
vie entre les mains d'eurocrates incertains
Qui
ont mené la France vers cette austérité.
Leur
unique refrain, ça ira mieux demain !.
Il
faut déboulonner, ces partis installés,
Ils
nous qu'une seule idée, c'est la continuité.
La
France en a soupé d'avoir été pillée
Par
la cupidité de nombreux étrangers.
Cancer
d'une société, l'absence d'autorité,
En
ce début d'année, c'est la morosité.
Peuple
désabusé qu'on ne cesse d'imposer.
Notre belle société est toute déboussolée.
Notre belle société est toute déboussolée.
Œuvre
d'un étudiant des Beaux-Arts, Angers, Bar-Resto Le Laboureur
L'art
de plaire, d'émouvoir, peu importe l'histoire
Le
paraître, l'émotion, c'est l'unique condition,
Si
l'on veut de l'audience, conserver le pouvoir.
Journalistes,
politiques, se mettent au diapason.
Des
journalistes s'offusquent d'interdire tel expo ;
Critiquent
à l'unisson des livres qu'ils n'ont pas lus.
Des
politiques s'en mêlent, brandissent leur véto.
Leur
esprit dogmatique déforme leur point de vue.
L'art
du n'importe quoi provoque un haut-le-cœur
Quand
on voit des bourgeois, de riches parvenus
Nous
jouer la comédie devant toutes ces horreurs.
Picasso,
l'imposteur, raille ces ingénus.
Mauvais
dessinateur, peintre de gribouillis,
La
règle, c'est l'imposture pour en booster le prix.
Un
génie se fabrique, n'est-ce pas monsieur Dali ?.
Cet
art contemporain conduit aux graffitis.
Qui
se sent attiré devant ces lignes brisées ?.
Des
marchands d'illusions, lobbys organisés,
Le
commerce de l'art, véritable marché
Pour
des spéculateurs sans aucun préjugés.
Encensés
par une presse aux ordres de mécènes,
Ces
spécialistes des arts, ils jettent l'anathème
Sur
le peuple des incultes qui préfère Diogène.
Les
Arts exonérés, dénonçons le système.
Zen-fiatlux.blogspot,
le 21 octobre 2014
http://zen49.blogspot.fr/2014/10/inauguration-du-musee-restaure-de.html
Désormais
qui peut croire au système politique,
Après
cet étalage de propos sarcastiques,
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