Le premier ministre Manuel Valls serait-il tenté de faire la politique du pire en matière économique : baisse ou encore gel des revenus de la classe moyenne, explosion de smicards, bouleversement de nos traditions et de notre culture ?.
Nous avons assisté à une diatribe politique plutôt qu' à un discours de politique générale. Au perchoir du Palais Bourbon, Manuel Valls s'est efforcé, avec précaution, de faire en sorte de tenir compte du rapport des forces politiques à gauche. Toujours autant de députés, sénateurs, réforme de l'Etat, un jour peut-être et, vers 2021 ou aux calendes grecques, une fusion de régions, une suppression de départements [alors qu'il ne sera plus là].
Rien sur la Justice, ni sur l'immigration, juste une reconnaissance de l'insécurité galopante qui ne date pas d'aujourd'hui !. Rien sur la politique européenne et sur la surveillance de la France par Bruxelles.
En France, tout le monde recule, sauf celles et ceux qui sont couverts par un statut de parlementaire ou de député européen. En attendant les réactions des politiques et des médias, je dis que l'analyse et le catalogue d'annonces qui ont été faites par le 1er ministre, ils ne rassurent personne.
L'affolement du remaniement ministériel et le discours de monsieur Manuel Valls ne nous redonnent pas confiance. Quid de notre avenir dans une zone euro à la dérive ?.
La leçon du 30 mars 2014 n'aura pas suffi. Même si j'entends des journalistes sur BFMTV qui s'en contentent «royalement», nous devrons, nous électrices et électeurs de la classe moyenne, nous remobiliser pour les élections européennes de mai 2014.
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