Prononcés à voix haute ou en catimini,
Couchés sur internet, sur un simple brouillon,
Ces mots «intolérables» empruntés au passé,
Journalistes et pigistes, ils les ont recueillis.
La Justice est saisie par moult associations,
Tintamarre médiatique, la guerre est déclarée.
Une «gôche» au pouvoir, la parole sous contrôle,
Cette marque d'autorité réservée aux veilleurs,
Elle est révélatrice d'un mauvais jeu de rôle.
L'extrémisme de gauche récolte toutes ses faveurs,
Comme les communautés et les minorités.
Aux ordres de Bruxelles, la France s'est écrasée.
De plus en plus pillés, de plus en plus taxés,
Les Français excédés, ils se sentent délaissés,
Un laxisme cynique de nos pouvoirs publics,
Il n'est plus supportable devant tant d'injustices.
Qui parlent de courage, c'est bien les politiques ?.
Un mot dénué de sens, excepté la police.
Dans tout ce grand désordre, de Bruxelles à Paris,
Le vote du vingt-cinq mai, c'est une supercherie.
Politiques et médias, retrouvez vos racines
Un lien entre deux êtres, c'est l'amour et l'honneur
De Rodrigue pour Chimène. Inusable maxime
De la grandeur de l'âme, tragédie de l'honneur.
L'héroïsme cornélien, un génie ce Corneille
A trente ans, c'est la gloire, le CID, une merveille.
Victime d'une cabale, Boileau règle la critique :
«Tout Paris pour Chimène à les yeux de Rodrigue»
Don Diègue dit à Rodrigue :
«Nous n'avons qu'un honneur, il est tant de maîtresses !
L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir.»
Rodrigue lui répond :
«L'infamie est pareille, et suit également
Le guerrier sans courage et le perfide amant.»
On s'emmerderait tant que ça, au Parlement Européen ?. Nos parlementaires français et nos ministres, ils disent qu'ils travaillent pour notre bien et notre Avenir !
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