vendredi 1 mai 2009

Un exemple de " tout-a-l-égo " en politique ....

mais avant et en ce 1er mai 2009, à quelques jours des 2 ans de Sarkozysme, regardez donc ces 2 courtes vidéos du Sénat qui résument bien le drame de notre société : " L'Audition de commission Politique en faveur des jeunes Table ronde avec des représentants de syndicats représentatifs nationaux de salariés : Le chômage des jeunes a augmenté de + 32 % cette dernière année et on bat des records, la France est le plus mauvais élève d'Europe ?." http://videos.senat.fr/video/videos/2009/video1861.html " Questions d'actualité 30 avril 2009 Les licenciements boursiers : Et la réponse d'Hervé Novelli qui marque son impuissance face aux grands groupes... " http://videos.senat.fr/video/videos/2009/video1864.html Bonne Fête du travail à celles et ceux qui en ont encore !. Aujourd'hui 1er mai, ayons une pensée toute particulière pour les autres... A en croire Ouest-France, doit-on s'attendre à mettre la main à la poche ?. Notre président du Conseil Général, chef de file de l'opposition municipale, administrateur de DEXIA..., tête de liste aux européennes dans l'Ouest désigné par Nicolas Sarkozy, rêverait-il de suivre les pas du Président ?. Celui qui avait dit : « Tout s'achète, il suffit d'y mettre le prix » ?.!. Le Conseil Général aurait-il une cagnotte ou va-t-il souscrire un nouvel emprunt pour s'offrir le « Transfert de l'année », l'ex chef de cabinet du Roi Jean ?. « Transfert de l'année : Laurent Le Sager rejoint Christophe Béchu. Il prendra la direction de services du Département au début de l'été. » D'abord attaché parlementaire de la députée socialiste de Trélazé Ginette Leroux, Laurent Le Sager fut très vite reconnu comme le pivot de l'équipe conduite par Jean Monnier dans les années 90. L'ancien maire d'Angers avait engagé cet ancien de Sainte-Agnès d'Angers, diplômé de Sciences Po Grenoble, comme directeur de cabinet en 1989. Laurent Le Sager était resté à ses côtés jusqu'à son départ de la mairie en 1998, lorsque Jean-Claude Antonini avait pris les rênes de la ville à mi-mandat. Parmi les dossiers les plus lourds qu'il ait eu à gérer : la création de l'aéroport d'Angers-Marcé, « le » projet de Jean Monnier. Laurent Le Sager s'était ensuite vu confier la direction du Centre des congrès, autre enfant de Jean Monnier, avant de prendre la direction de l'ensemble Angers expo congrès (direction du parc-expo et du centre des congrès) en 2002. Quelques années plus tard, il s'était porté candidat à la direction des services de l'agglo d'Angers. Candidature rejetée : son appartenance à la mouvance monniériste, au moment où les tensions entre Jean-Claude Antonini et Jean Monnier allaient atteindre leur paroxysme, était rédhibitoire. Laurent Le Sager avait alors choisi de quitter le département pour l'Alsace : depuis 2007, il était directeur général délégué de Strasbourg Evénements. Malgré ses fortes attaches angevines... Des attaches qui ont fini par être déterminantes. Il faut dire que les dernières élections municipales ont fini par brouiller les cartes. Les connexions entre les proches de Jean Monnier et l'entourage de Christophe Béchu se sont multipliées. On se souvient que l'été dernier, le président du conseil général avait procédé au « grand ménage » parmi ses proches collaborateurs. Il s'était notamment séparé du directeur général des services du département. Le poste n'était toujours pas occupé. Il devrait l'être officiellement le 22 juin prochain. Laurent Le Sager arrivera le jour du débat sur le budget supplémentaire du conseil général. Alain MACHEFER. Ouest-France Pas de quoi en faire un fromage Si le roi Jean était à la place de son remplaçant Jean Claude Antonini, il aurait dit " je m'en moque comme du jour où j'ai porté mon premier col marin !" -------------------------------------------------------- Souvenirs souvenirs : Ouest-France du 4 mars 2008 : Les réactions de ceux qui ont côtoyé le « roi Jean » Ancien adjoint, député, élu communiste, directeur d'office de tourisme... ils ont travaillé aux côtés de Jean Monnier et ressentent le besoin d'en parler. Dominique Richard, conseiller régional, ancien député d'Angers Sud. « Pour avoir, à l'été 1988, en compagnie d'Hubert Grimault et de Martial Vié, engagé les discussions avec Jean Monnier qui devaient aboutir à l'accord municipal de 1989, j'avais été frappé par sa capacité, sans équivalent, à privilégier sur toute autre considération ce qu'il estimait bon et utile à Angers, la ville qu'il aime tant. Aujourd'hui, la meute de ceux qui lui doivent tout est lâchée. Mais que lui reprochent-ils vraiment ? En fait, ils reprochent à Jean Monnier d'être demeuré Jean Monnier ! C'est-à-dire, avant tout un homme libre, détestant l'esprit de clan (les « commissaires politiques », selon son expression), qui, à chaque étape, lors de son premier mandat à l'occasion de la rupture avec les communistes, en 1989 pour l'accord avec le CDS, aujourd'hui en soutenant Christophe Béchu, privilégie l'intérêt général à toute autre considération partisane. En juin dernier, Jean Monnier appelait à voter aux législatives pour Marc Goua, aujourd'hui pour Christophe Béchu. Était-il génial il y a neuf mois et décati aujourd'hui ? » Hervé Carré, co-listier de Christophe Béchu, ancien adjoint de Jean Monnier. « Le soutien franc et sans ambiguïté que Jean Monnier vient d'apporter à Christophe Béchu, me conforte dans le choix que j'ai fait début décembre 2007. Sa prise de position contribue à recentrer sur le seul enjeu qui doit mobiliser l'attention des Angevins, celui de l'avenir d'Angers et des Angevins. La dynamique de renouvellement que porte Christophe Béchu s'appuie sur une grande diversité d'origine et de compétences et s'inscrit dans le droit fil des valeurs de justice, de tolérance et de progrès qui inspirent mon engagement. » Michel Claude, directeur de l'office de tourisme entre 1983 et 1987. « C'était un modèle, un maître en politique. Tu n'as pas tenu ton engagement de « rester sur le bord du trottoir », comme tu me l'avais assuré lors d'une communication téléphonique il y a un mois. Je suis choqué, indigné, mais pas surpris. Je pense que tu n'as pas supporté les sondages qui confirmaient la confiance qu'ont les Angevins dans ton successeur Jean-Claude Antonini. C'est sans doute dur de rester hors scène. Rancoeur sans doute, parce Jean Claude n'était pas l'homme que tu voulais choisir pour te succéder, mais qu'il a été par une décision collective du conseil municipal d'alors. Décision acceptée à contre coeur ¯ d'où une rancoeur tenace. Après Hervé Carré, maintenant Jean Monnier renie ceux qui l'ont fait « roi ». » Jacques Proult, ancien leader communiste. « Je suis retiré de la scène politique angevine. Bien que nous ne soyons plus ni lui ni moi en séance du conseil municipal et qu'il ne peut donc me censurer en coupant le micro, je serai bref. Jean Monnier reproche à Jean-Claude Antonini de ne pas avoir suivi ses conseils. Des femmes et des hommes de gauche peuvent légitimement ne pas partager cet avis et, au contraire, déplorer qu'il ait épousé la trajectoire de son maître impulsée en 1979. Ils peuvent désapprouver le fait qu'il n'ait pas coupé politiquement le cordon en 2001. Ils peuvent regretter qu'élu en 1977, Jean-Claude Antonini ait ignoré que le virage de 1979 (concrétisée par la suppression des délégations aux élus communistes) fut le fait du prince, alors que la victoire de la gauche découla de la volonté des Angevins. En effet, contrairement à ce qui est écrit à longueur de colonnes, « Angers ne s'est pas toujours gagnée au centre ». La victoire décisive, celle de 1977, fut emportée contre les droites unies. Madame Moreau en fut certainement dépitée. Son avenir politique local était alors fort compromis. Mais l'anathème de Jean Monnier à l'encontre des communistes fut, en 1989, l'alibi pour « l'ouverture ». De beaux esprits prétendirent alors que le fin stratège enfonçait un coin dans la droite locale pour maintenir Angers dans le giron de la gauche C'était un leurre. La preuve en est aujourd'hui apportée. Progressivement, Jean Monnier s'est dégagé d'une gauche rose pourtant bien pâle, mais qui, sait-on jamais, aurait pu reprendre de la couleur sous la pression populaire, pour privilégier un conservatisme teinté de catholicisme. » Christophe Béchu répond à Jacques Auxiette. « Les propos des proches de Jean-Claude Antonini et particulièrement ceux de Jacques Auxiette m'ont profondément choqué. L'utilisation des termes de « trahison » et de « collaboration » par Jacques Auxiette est proprement inacceptable. Un tel amalgame est intolérable, encore plus dans la bouche d'un élu républicain. Le débat municipal ne doit pas donner lieu à des dérapages verbaux de ce type. J'appelle donc les proches de Jean-Claude Antonini à cesser les attaques visant les personnes. » Gilles Groussard, responsable syndical CFDT rallié à l'équipe Béchu, estime que « Jean Monnier a été un grand responsable départemental et même régional de la CFDT et il a toujours su conserver à l'esprit les valeurs du syndicalisme dans son action au service des Angevins ». La CFDT a toujours voulu se tenir à l'écart des débats politiques. Mais l'irruption de Jean Monnier dans la campagne, ancien maire et ancien responsable départemental de la CFDT, fait réagir Danielle Thouin, actuelle secrétaire générale : « Jean Monnier s'est exprimé en son nom. Il a été une grande figure du syndicalisme. Il a fait évoluer la CFDT. Mais c'est une figure du passé. » Elle s'interroge : « Comment peut-on soutenir un parti politique qui n'oeuvre pas en faveur de la justice sociale ? Le paquet fiscal ou la franchise médicale ont plutôt creusé les écarts sociaux. Comment peut-on se réclamer d'une sociale démocratie humaniste en soutenant un mouvement instigateur de telles mesures d'injustice sociale ! » Daniel Dimicoli, co-listier de Christophe Béchu. « Mon engagement à ses côtés en qualité de conseiller délégué en charge, notamment, du Marché d'intérêt national et de l'Eparc de 1995 à 2001 m'ont permis d'apprécier les qualités d'écoute, de discernement, d'analyse et de décision du grand maire qu'il a été. » Jean-Claude Antonini répond (sans le dire) à Jean Monnier. « Dire que le Lac-de-Maine, et ses 20 logements à l'hectare, est un exemple de ce qu'il faut faire, n'est pas juste. Une urbanisation pavillonnaire de ce type avec une densité aussi inégale d'un bout à l'autre du quartier ne répondrait pas aux défis à venir. Le quartier Desjardins, avec ses 80 logements à l'hectare, voilà l'exemple ! » Catherine Goxe, ancienne fonctionnaire à la Ville et co-listière de Christophe Béchu. « Cataloguer Jean Monnier comme « homme du Passé », c'est se priver de références toujours actives, c'est nier que l'on bâtit plutôt sur des bases sûres que sur du sable. Et lui, il a eu le courage d'arrêter sa vie politique il y a 10 ans,... à 68 ans justement ! » (NDLR : l'âge que le maire aura le 20 mars 2008). Ouest-France Le Roi Jean va-t-il être appelé à la rescousse ??? " Sarkozy atteint des sommets... d'impopularité Sa cote de confiance s'établit à 32%, égalant ainsi son plus bas niveau... de mai 2008 " " 65% de Français sont mécontents du président de la République..." (Sources: LCI.fr, Le Figaro) le post.) http://zen49.blogspot.com/ Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr

10 commentaires:

RPR a dit…

Muguet porte-bonheur pour les salariés ou
Tous les avis de ces personnes sont-ils tous désintéressés ?
Toutes ces magouilles pré électorales des dernières élections municipales démontrent encore un véritable complot organisé entre Modem, l'UMP et les Moniéristes qui consistait à faire chuter Antonini et son équipe.
Les angevins l'ont échappé belle !.
électeur RPR

Anonyme a dit…

Merci zen pour toutes vos infos, l'anonyme du commentaire précédent : " "Les bailleurs sociaux ne connaissent pas la crise ?" manquait visiblement d'infos précise.

Anonyme a dit...

"Quand on saura qui occupe le siège dévolu à Angers Loire Tourisme, on comprendra qu'Antonini voulait sans doute distribuer quelques jetons de présence à une personne en particulier... Et nous croyons savoir de qui il s'agit.
Faut bien qu'Antonini paye ceux qui lui ont vendu leurs voix au second tour." Anonyme du

30 avril 2009 20:54

Dans l'article de Ouest-France du 4mars 2008, vous avez la réponse à votre sous-entendu et, les remerciements de Béchu au soutien de Jean Monnier pour les municipales :
" Transfert de l'année : Laurent Le Sager rejoint Christophe Béchu. Il prendra la direction de services du Département au début de l'été."
" On se souvient que l'été dernier, le président du conseil général avait procédé au « grand ménage » parmi ses proches collaborateurs. Il s'était notamment séparé du directeur général des services du département. Le poste n'était toujours pas occupé.
Il devrait l'être officiellement le 22 juin prochain. Laurent Le Sager arrivera le jour du débat sur le budget supplémentaire du conseil général."

Si l'on en croit les coupes sombres dans certains bugets associatifs et collèges..., les finances du conseil général ne doivent pas être au beau fixe ?.

Embaucher un "sage disciple" du roi Jean au poste "vacant" de directeur général des services du département, le jour du débat du budget supplémentaire, c'est certainement une simple coïncidence ?.
Les contribuables du Maine-et-Loire pourront-ils enfin connaître l'endettement de son conseil général ?.

"Le poste n'était toujours pas occupé.Il devrait l'être officiellement le 22 juin prochain. Laurent Le Sager arrivera le jour du débat sur le budget supplémentaire du conseil général" ouest-France du 30 avril 2009

Anonyme a dit…

Jean Monier, c'est du passé. Il était du complot depuis longtemps, depuis que Jean-Claude Antonini s'était affirmé en tant que maire... ce qu'on ne peut le lui reprocher, faut pas deux mais un seul patron !
Jean Monnier croyait sans doute pouvoir encore tirer les ficelles avec ses hommes. Les étonnantes "trouvailles" (pas retrouvailles) de Jean Monnier et Christophe Béchu étaient celles d'hommes en quête de pouvoir, l'un pour le garder, l'autre pour atteindre un électorat, les deux pour dégager Jean-Claude Antonini.
En réalité, qu'est ce qui peut rapprocher les deux hommes ? Rien, ils diront l'amour d'Angers que d'aucuns éprouvent aussi ; ils peuvent dire rassembleur ? L'équipe de Jean-Claude Antonini l'est aussi.
Bref, ce qui les a réuni dans l'opportunisme a échoué.

Aujourd'hui Angers se renouvèle sans eux avec une équipe en fait bien plus jeune. Antonini a gagné son pari de renouvelement et semble bien tenir une équipe uni et dynamique.

Quel nouveau leader de droite va-t-il surgir avec l'abandon d'Angers par M.Béchu ? Vos avis ? M.Gérault n'est pas à la hauteur mais a les manigances, M.Capus est bien seul comme UMP, Mme Bou Tlétis a envie, Mme Le Goff fait trop âgée, alors M.Dimicoli ? Qu'en dit l'électeur RPR ? !

Ne pensez-vous pas que la politique de l'opposition à se croire toujours au centre n'est-elle pas une erreur (surtout avec les Modem qui sont avec Antonini)... et en prenant L.Le Sager, Béchu ne veut-il pas continuer dans l'erreur en faisant croire qu'il est centriste alors qu'il est UMP ?

Le nouvel observateur angevin

L'écureuil a dit…

On appelle ça une coïncidence malheureuse :

Cote de confiance accordée au Président Sarkozy : 32 %

Cette dernière année, le chômage des jeunes a augmenté de + 32 %

Aujourd'hui 1er mai 2008, Le taux du livret A, le bas de laine de la France d'en-bas, a battu tous les records de baisse de rémunération, soit + 1,75 %.

Il faut bien renflouer les pertes de la Caisse des Dépôts (une première !) et celle de la fusion des Caisses d'épargnes et des banques populaires.

Avec ce taux de rémunération, les petits épargnants vont peut-être rapatrier leur argent à la maison ?. Cela leur coûtera certainement moins cher que de prendre leur véhicule et payer leur stationnement pour se rendre à leur banque !. Leur argent sera peut-être davantage en sécurité chez eux et à leur disposition sans frais de déplacement que chez leur banquier ?. Sait-on jamais ?.

L'écureuil

Anonyme a dit…

Oui l'alliance Monnier-Béchu fait maintenant figure de piètre alliance entre un vieux loup qui ne réussit pas à prendre sa retraite politique et un jeune loup trop pressé.
Oeil de lynx

Anti cumulard a dit…

Monnier Béchu Gérault Dimicoli Moreau Carré Claude Goxe... l'UMP et une partie de l'UDF-Modem..., tout ce "beau monde" et leurs soutiens n'ont pas réussi à renverser le maire Jean Claude Antonini très bien épaulé par toute son équipe.

Ils l'ont en travers et ils ne s'en sont toujours pas remis de leur défaite.
Le seul qui en profite, c'est assurément l'UMP Christophe Béchu qui va s'en aller à Bruxelles profiter de la manne européenne ( on parle de 28 000 €/mois plus 300 €/jour pour frais perso !) pas mal si on rajoute l'empilage des autres mandats, présidence du conseil général et autres émoluments et frais de représentation...!. En voilà un qui profitera bien de l'europe nourricière, de quoi s'attirer des jalousies ?.
Anti cumulard

Anonyme a dit…

je viens de lire sur le 2ème blog http://zen49.blogspot.com/ un article sur B. Kouchner et son manque d'unité avec les autres pays d'Europe

Anonyme a dit…

Selon le figaro

" Le ministre du Travail, (Brice Hortefeux), revient sur les défilés du 1er Mai et assure que le gouvernement est «aux côtés» des Français inquiets "

" François Chérèque vous demande d'être «acteur», et pas seulement «observateur des problèmes». Vos réponses sont-elles suffisantes ?"

" Que les syndicats demandent plus et se retournent vers le gouvernement, c'est normal. La seule réponse à la crise, c'est davantage de protection, du concret et de la justice."

Des réponses du ministre Hortefeux qui n'en sont pas ?.
" Aux côtés, davantage de protection, du concret et de la justice ", ça veut dire quoi, davantage de déremboursements, de la justice pour les riches et rien de concret = rien du tout ?.

Anonyme a dit…

Et pour les 667 voix, qu'ils assument donc un jour qu'ils ont perdu. C'est vrai que je connais trois Modem (les vrais, les Modem Cap 21) qui ont battu la semelle toute la nuit du vendredi au samedi avant le second tour pour que les habitants du centre-ville ait un dernier tract le matin dans leur boite aux lettres. Quid de ce tract : les "unes" d'une série de revues et quotidiens sérieux qui reconnaissaient au terme de leurs enquêtes l'exemplarité de la gestion de la ville d'Angers.
A Monplaisir comme au centre-ville, les électeurs censés ont été convaincus par un maire qui avait fait ses preuves et qui formait une équipe renouvelée et bien équilibrée face à une équipe Béchu faite de torchons et de serviettes, conçue pour donner le change, faire croire que la jeunesse rime avec prouesse...et ca n'a pas marché.
Et maintenant :
We are the champions, my friend !

Anonyme a dit…

Bonjour,
L'emploi et les difficultés d'insertion des jeunes et des seniors, n'est ce pas le sujet majeur du 1er mai fête du travail !
La France, le plus mauvais élève d'Europe cela n'interpelle personne ?
Pour les jeunes diplômés il leur faut 10 ans pour installer leur vie professionnelle !
Chacun doit se sentir concerné et agir plutôt que pérorer...