dimanche 2 octobre 2016

Contribuable, électeur, souviens-toi des mensonges et de leurs conséquences... !.

Passage de pouvoir à la B.C.E entre 
Jean-Claude Trichet et Mario Draghi

Mario Draghi, de 2002 à 2005, a été vice-président de Goldman Sachs. En novembre 2011, il succède à Jean-Claude Trichet à la tête de la banque privée européenne, B.C.E.

Qui donc a falsifié les comptes publics grecs pour faciliter l'entrée de la Grèce dans la monnaie unique, Goldman Sachs ?.

Qui a fait preuve de négligence, l'Allemagne et la France ?.

Qui a participé activement à la nomination de Mario Draghi en 2011, l'Allemagne et la France ?.

Une Allemagne intraitable oubliant son passé,
Travail obligatoire, rationnement des français,
Et ses millions de tués, son histoire entachée,
La modestie s'impose après tous ces excès !.

Les ficelles à Bruxelles, Düsseldorf et Berlin,
Sont des attrape-nigauds dans cette zone euro.
ETATS sous perfusion, poudre de perlimpinpin,
Que les peuples refusent en critiquant l'euro.

Consultation des peuples, c'est la démocratie.
Vite un référendum, arrêtez vos chantages,
Un peuple souverain doit donner son avis,
Le vote du peuple grec fait mentir les sondages.

« Nécessité fait loi » face à cette troïka,
Cette monnaie unique a créé la panique.
Osons dès à présent braver tous ces malfrats.
Pour un salut public, adoptons Salonique.

Discussions byzantines, le bla-bla habituel
Des chapelles à Berlin et ainsi qu'à Bruxelles,
Elles ont bien trop durée, peuples sont excédés.
Récupérons nos droits, notre souveraineté.


Alain Février, Mardi 7 juillet 2015


15 octobre 2008

Sur RTL, le premier Ministre François FILLON a dit :

" On n'est pas à l'abri d'un accident systémique, c'est à dire un accident qui est entraîné par le fait que certaines banques peuvent avoir des produits toxiques en part importante dans leur bilan "

..." notre dispositif français n'aurait pas "de coût pour le contribuable" sauf "si on avait un accident majeur du système financier qui aurait des conséquences incalculables sur l'économie".

..." Je n'ai jamais pensé que la crise financière était derrière nous,c'est une crise qui est tellement profonde, qui a pris une tournure exceptionnelle depuis que les marchés ont compris qu'une grande banque pouvait faire faillite."

Hier, 224 députés sur 577 ont voté pour : " un double mécanisme de garantie des crédits interbancaires jusqu'à fin 2009 (320 milliards d'euros) et d'aide en fonds propres portant sur 40 milliards d'euros."

Ce dispositif "va dans le bon sens... change les choses", a estimé François Bayrou. ?.

La réponse des marchés boursiers ne va pas se faire attendre et, je ne voudrais pas être à la place d'un des 224 parlementaires qui ont donné un blanc-seing à la validation du colmatage d'un système financier à la dérive. Il a démontré toute sa perversité et toutes ses faiblesses.

Frédéric Woerth

15 Octobre 2008 extraits :

" 320 milliards d'euros maximum pour garantir les prêts inter-bancaires,
40 milliards d'euros à investir dans une politique de relance ( recapitalisation des banques, aides aux PME...)"

"Mais d'où va sortir cet argent ?"

Selon Le Parisien - Aujourd'hui en France, " l'épargne des particuliers placée sur des "livrets développement durable" va être mobilisée, notamment pour aider les PME. Cela représenterait 22 milliards d'euros."

" Dans le même temps, la Caisse des dépôts a été réquisitionnée pour racheter 10.000 logements et pour financer le sauvetage de Dexia, pour 2,4 milliards d'euros."

" L'Etat pourrait avoir recours à l'emprunt. Mais qui va bien pouvoir prêter à la France, des pays encore pleins aux as ? Ils se font rares pour l'instant. Les particuliers qui pourrait acheter des obligations ?. Pas sûr que cela marche... car, comme le rappelle un article du Monde, les Etats doivent eux-mêmes être solvables pour inspirer confiance et ne pas risquer la faillite comme l'Islande."

" Pas question de faire peser ces dépenses sur le déficit public, a assuré le ministre du budget Eric Woerth. Sauf si la situation s'aggrave. Alors, "on pourra s'affranchir le cas échéant de la règle communautaire des 3 % du PIB pour les déficits publics", a-t-il expliqué ce dimanche soir au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI."

" C'est ce qu'expliquent 2 professeurs d'économie sur le blog Telos-eu.com : "Le coût des sauvetages bancaires va devoir être partagé entre les épargnants (dévalorisation de leurs actifs), les contribuables (hausse des impôts) et l'ensemble des ménages (prestations sociales, équipements publics...), la répartition dépendant en grande partie de l'évolution à venir de l'inflation", difficile à prévoir."

( Sources: 20 Minutes, Le Figaro.fr, Telos-eu.com, Le Monde.fr, Le Parisien - Aujourd'hui en France )


15 octobre 2008

Les Etats-Unis ont souvent nationalisé en temps de crise

" Certes, la nationalisation partielle des banques en difficulté déroge au principe de l'économie de marché chère aux Américains, et pourtant les Etats-Unis ont déjà connu des interventions similaires. De la prise de contrôle des industries d'armement en temps de guerre à la rescousse d'institutions financières en faillite, certaines nationalisations ont été temporaires mais d'autres, telle celle des chemins de fer Amtrak, perdurent.

Mardi, le président George W. Bush a annoncé l'entrée du gouvernement américain au capital des principales banques américaines, pour 250 milliards de dollars (185 milliards d'euros). "Ces mesures ne sont pas destinées à supplanter l'économie de marché mais à la protéger", a-t-il assuré. Cette nationalisation partielle est présentée comme une intervention de dernier recours et non un glissement vers l'interventionnisme de l'Etat fédéral, qui révulse nombre d'Américains, surtout dans le camp républicain...."
Sources Associated press 


« ...L'exubérance des marchés financiers est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une vigoureuse réforme du système bancaire, la crise financière est certaine (1999)...», Monsieur Maurice Allais

Banque privée BCE, véritable bunker,
Frappe la monnaie unique, avec parité fixe.
Divergences au panier, économie, sociale,
Régimes différents, drôle de façon de faire,
Cette banque centrale, privée, véritable Obélix
Qui oblige les Etats, d'une manière radicale.
On ignore, aujourd'hui ses dettes, ses emprunts,
Il y a anguille sous roche, niveau de l'endettement.
Création monétaire qui ne repose sur rien.
Nous sommes bien naïfs envers tous ces requins.
Le dollar et l'euro nous poussent vers le néant.
De la monnaie de singe, c'est notre quotidien !.
Alain Février, 7 juillet 2005




Valeurs, Justice sociales, les inégalités
Au Front républicain, c'est un non événement.
Pleurer dans les chaumières ou bien manifester,
C'est faire les affaires de ces gouvernements.

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