Mercredi 7 août 2013
Comment pouvons-nous accepter que des enfants mineurs étrangers puissent atterrir en France sans que leurs familles s'en inquiètent ?. Sont-elles consentantes ?. La France n'est plus un éden social et économique, les contribuables français sont à bout de souffle.
L'Etat
Français est impuissant à combattre les passeurs et leurs filières.
Il serait grand temps que les signataires des Accords
de Schengen révisent
leur copie. La suppression des contrôles aux frontières est une
aberration. Les premiers signataires de la C.E.E., en 1985
(Allemagne, Belgique, France Luxembourg et Pays-Bas). Ensuite, après
les avenants de 1990, d'autres Etats ont rejoint les 5 signataires
(Italie, Espagne, Portugal et Grèce).
La libre circulation des personnes dans l'espace Schengen en période
de grave crise économique et sociale est un véritable scandale pour
les autochtones comme pour tous ces migrants vers la France.
L'eldorado
de la protection et de l'aide sociale, c'était avant la monnaie
unique. Les
trente glorieuses sont derrière nous. Désormais c'est
le déséquilibre humanitaire qui va se transformer en
enfer ethnique et communautaire. Monsieur Pierre Henry
*,
la solidarité a, peut-être, fait de vous un nanti de l'économie
sociale et solidaire ; de grâce ayez une pensée pour ces millions
de français qui souffrent dans leur vie et dans leur chair.
* On
peut avoir le coeur sur la main quand on s'appelle M.Pierre Henry !.
« Avoir été élu PS, avoir cumulé et occupé de hautes fonctions
en France et au Parlement européen, avoir été et être responsable
de communication d'une CCI, membre de conseils d'administration
OFII,secrétaire général adjoint de
l'association Droit et Démocratie, membre du comité exécutif du
Conseil européen pour les réfugiés et les exilés, directeur
général de l'association France terre d'asile depuis 16 années...,
puis-je en déduire sa qualité de « businessman de la misère
sociale » ?. Sources wilkipédia
Un brin de vérité Il y a un compromis avec la commission @juncker
1 commentaire:
Emile de Girardin « gouverner, c'est prévoir
Et de ne rien prévoir, c'est courir à sa perte »
François Hollande a dit « gouverner c'est choisir ».
Se soumettre à Bruxelles, pas d'autre échappatoire,
Il n'est pas très à l'aise avec la croissance verte.
Politique hollandaise, c'est de laisser courir.
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