Musée Jacques Chirac en Corrèze, Sarans
Arrêtons
le massacre de la FRANCE et des FRANÇAIS
C'est
au fond de l'abîme qu'on regarde vers le ciel.
On
se demande pourquoi, on est tombé si bas ?.
L'épilogue
d'une Europe qui lui manque l'essentiel,
L'adhésion
patriote, le peuple n'en veut pas.
Interviews
de Mgr Olivier Ribadeau-Dumas et Marion Maréchal-Le Pen
[...] 28 août 2015
En
raison de la "polémique"
soulevée par
les médias à propos de l'inviation de Marion Maréchal-Le Pen à
une université d'été organisée par le diocèse de Fréjus-Toulon
(voir communiqué), il
est interessant de mettre en perspective ces deux interviews parues
le même jour.
Tout
d'abord, celle de Mgr
Olivier Ribadeau-Dumas,
porte-parole de la Conférence des évêque de France, dans
La Croix où
il affirme à propos du FN qu' "un
certain nombre de ses idées sont clairement en opposition avec
l’Évangile et avec la vision chrétienne de la société"...mais
sans vraiment les préciser ni aborder les points non négociables
(voir interview à Do
Rzeczy) :
[...]
« …
De son côté, Marion Maréchal-Le Pen s'affiche dans Famille
Chrétienne en catholique décomplexée d'une nouvelle génération :
« …
De son côté, Marion Maréchal-Le Pen s'affiche dans Famille
Chrétienne en catholique décomplexée d'une nouvelle génération :
"Les
seules personnes choquées par cette affaire sont les journalistes !
C’est
une illustration de la fracture entre le monde médiatique et le
monde réel. Pour le public catholique du Var la question ne se pose
plus ! (…) Ce
qui est remarquable dans ce rassemblement c’est la volonté de voir
ce qui nous rassemble avant de focaliser sur ce qui nous divise.
Il y a une capacité de cohabitation étonnante entre des gens qui
viennent d’horizons politiques très différents. Cela change des
plateaux télé ! L’état d’esprit est serein. Il
consiste à mettre en commun l’essentiel, comme le respect de la
vie humaine (...)
Nous
sommes face à une génération décomplexée par rapport à leurs
aînés. Les jeunes catholiques ne s’encombrent plus avec
l’autocensure et la culpabilité.
Ils en ont assez de devoir en permanence s’excuser. Ils sont libres
et veulent sortir du malaise. Les
chrétiens en politique avaient pris l’habitude de se faire
discrets de peur d’être taxés de conservateurs. Ils étaient
diabolisés (...)
Les
catholiques ont été victimes de christianophobie à la Révolution
française. Après un temps d’accalmie, ce phénomène est en train
de revenir.
J’observe une forme d’agressivité manifeste à leur égard. Cela
pousse la nouvelle génération à agir (...) Je fais partie de cette
génération anti Mai-68 (...) Ma génération a vécu en première
ligne les conséquences de ce travail de sape éthique et moral.
Il
y a toujours eu des catholiques au FN et des personnalités de
premier plan. Le choix d’un parti politique est toujours un choix
par défaut (...) Au FN (...) les catholiques n’ont pas vraiment
besoin de changer la ligne qui leur convient. Je
crois que sur la bioéthique et les questions du mariage et de la
filiation, le FN est déjà en cohérence avec leurs attentes (...)
C’est
très difficile d’être catholique tout seul ! Je suis assez seule
dans mon combat politique. C’est pour moi important de rencontrer
des catholiques qui défendent des valeurs auxquelles je tiens. Cela
renforce mes convictions en adéquation avec ma foi (...)"
Via twitter : http://t.co/3PoMKvDB6K
Arrêtons
le massacre de la FRANCE et des FRANÇAIS
Ce
qu'en disait Jacques Delors :
«..Autant
dire que l’Euro n’a
pas été créé pour servir les Etats européens,
mais
bien l’unification forcée de l’Union européenne.
Et
maintenant que l’Euro connaît
ses premières difficultés, il faudrait selon Jacques
Delors, sacrifier les Etats et le
peu d’autonomie qui leur reste pour sauver l’Euro.
Si
la monnaie a plus d’importance que l’Etat, autant adorer le veau
d’or !... »
L'identité
française est vraiment menacée
Et
le patriotisme s'étiole progressivement.
Cathédrale Saint Maurice-ANGERS
«
La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de
l’enfer. L’hypothèse d’une félicité parfaite est plus
désespérante que celle d’un tourment sans relâche, puisque nous
sommes destinés à n’y jamais atteindre »,
Gustave
Flaubert
à Louise Collet.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire