mardi 26 mai 2015

Les Francs-maçons ont envahi les ministères, le milieu des Hauts Fonctionnaires, les Collectivités !



Excellent article sur la franc-maçonnerie qui mine les ministères et l'Administration !. Express N° 3333 du 20 au 26 mai 2015.

Les « Frères trois-points » de toutes obédiences auraient-ils repris du poil de la bête sous le hollandisme ?.

« Vile Maçonnerie !... Où nous conduiras-tu ?
Au sein de la Débauche et loin de la vertu,
Et dans l'union libre, au dam de la Famille,
Dans le champ de l'opprobre où le malheur fourmille ?.

Oui ! Tu nous conduiras au fond de l'égoïsme .
Dans l'infâme anarchie et le sensualisme.
L'esclavage infernal et la perversité
Dans la ruine sombre et la férocité !.
A. Croubois


«La franc-maçonnerie, une secte qui menace les droits des peuples [...] la franc-maçonnerie est toujours un danger pour la démocratie.»

[...] La franc-maçonnerie, à y regarder de loin, ressemble à une sorte de mafia installée au coeur des institutions. En regardant de près, aussi. Ce qui pose un problème : pourquoi des élus, censés défendre l'intérêt général, sont-ils d'abord engagés par un obscur serment à une « fraternité » non moins obscure ?. Pourquoi les « profanes » sont-ils gérés comme un troupeau par cette bande-là ? [...]


Vue panoramique de l'intérieur du Panthéon. Jean-Pierre Lavoie http://commons.wikimedia.org/w/index.php?title=User:Jplavoie&action=edit&redlink=1

Jean Zay [1904-1944]
Député radical du Loiret de 1932 à 1944,
Sous secrétaire et Ministre.

Pourquoi aujourd'hui et pas hier, à l'heure où les inégalités sociales se creusent de jour en jour !. Pourquoi en parler aujourd'hui et pas hier ?

Il aura fallu plus de 70 ans pour panthéoniser Jean ZAY, ce jeune ministre du Front populaire de l'Education nationale et des Beaux-Arts, nommé par Léon Blum ?. Ce grand « bouffeur de curé », un laïc radical-socialiste adepte de la méritocratie, à l'identité juive, il a été assassiné par La Milice à l'âge de 40 ans !.

Notre hiérarchie politique au sommet de l'ETAT serait-elle toujours à la recherche de clivages idéologiques et sociaux ?. Par les temps qui courent, c'est jouer avec le feu !.

Je ne résiste pas à citer ce petit passage d'Odette Pannetier, première femme journaliste qui a rejoint l'équipe du Prix Littéraire Renaudot :

« Jean Zay, c'est évidemment peu de chose, mais c'est, si l'on peut dire, un néant plein d'agitation, plein d'ambitions [...]. Il n'est pas de ces gens qui trahissent bêtement, gratuitement. Lui, quand il trahira, ce sera pour quelque chose qui en vaille la peine. Un portefeuille par exemple.» Odette Pannetier, Candide, 7 novembre 1935.

Jean Zay, d'Antoine Prost, Pascal Ory et Hélène Mouchard-Zay, préface de Najat Vallaud-Belkacem, Tallandier, 157 p., 25,90 €.
Facebook Alain Février – Twitter : fiatlux

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