mardi 10 décembre 2013

Conflit d'intérêts entre l'Huma et le Palais Bourbon - Une presse indépendante ! Et, les entreprises françaises et les surendettés dans ce pays, NIET ?. L'avis de JMA...



La presse écrite et les organes publics d'informations et de divertissements sont entre les mains de l'ETAT. Malgré une aide financière publique et régulière de la presse « privée », Bercy, le ministre Moscovici vient d'annuler une dette du quotidien l'Humanité, de Plus de 4 Millions d'euros !


Nos leaders politiques ont perdu leur aura,
Leur parti politique, c'est le clientèlisme
Toujours en quête de droits, d'avantages en tout cas .
La presse n'est pas en reste, elle cultive son civisme.
Ce troisième pouvoir creuse ses déficits.
Ce monopolistique des choix de société
A-t-il une conséquence sur les réalités ?.
Le doute est bien normal sur ce qui est écrit.
Nous autres, contribuables, nous sommes influencés.
La désinformation au prix d'aides financières
Au vingt et unième siècle, une forme de corruption
Que personne ne dénonce, y'a pas de quoi être fier.
Ces cinq dernières années, une gabegie financière,
Dans ces multiples aides qui ont été doublées.
On voudrait nous faire croire à leur indépendance.
Quand tous ces journalistes, sous pression financières,
Manquent d'objectivité, font preuve de complaisance !.
Peut-on tous les blâmer, quand vous êtes assistés ?.

Zen-fiatlux, le 10 décembre 2013


"... Un article additionnel du projet de loi de finances, qui vient d'être voté à l'Assemblée nationale, prévoit l'abandon des créances du journal "L'Humanité" pour plus de quatre millions d'euros " !!! Presse écrite indépendante, c'est comme la TV publique ... http://www.atlantico.fr/decryptage/et-etat-effaca-six-millions-euros-dette-humanite-et-pour-entrepre

RTL : "C'est juste son avis" à Jean-Michel Aphatie. C'est court mais très bien dit avec conviction :

Jean-Michel Aphatie, 10 décembre 2013
« On a beaucoup reproché aux journalistes, la semaine dernière, d'avoir évoqué l'opération de la prostate subie par François Hollande en février 2011. Ces reproches étaient-ils justifiés »


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