Adresse du document : http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ100312517.html
Campagne de publicité sur le grand emprunt
13 ème législature
Question écrite n° 12517 de M. Claude Jeannerot (Doubs - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 18/03/2010 - page 644
M. Claude Jeannerot attire l'attention de M. le Premier ministre au sujet de la campagne de publicité qui a été lancée pour le grand emprunt.
Le 17 février dernier, le Service d'information du Gouvernement (SIG) a indiqué avoir consacré près d'un million d'euros à une vaste campagne de communication dédiée au grand emprunt. Cette campagne gouvernementale largement diffusée dans la presse ne manque pas d'interroger puisque le grand emprunt ne s'adresse pas aux particuliers mais exclusivement aux marchés financiers. Dans ces conditions, quel est l'objet de cette campagne publicitaire dont le coût apparaît choquant en période de crise et d'inexorable alourdissement de la dette de l'État, tandis que les collectivités locales, confrontées à une explosion de la demande sociale et à la non-compensation financière intégrale des transferts de compétences, ont des difficultés à boucler leur budget ? Le Gouvernement ne devrait-il pas s'abstenir d'engager de telles dépenses de communication dans ce contexte de crise? La seconde remarque concerne le moment choisi par le Gouvernement pour communiquer de manière spectaculaire à l'heure où chaque région de France est engagée dans le débat pour l'avenir des territoires. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement sur cet acte de communication pendant la campagne électorale alors que la tradition républicaine l'invite à la réserve.
Réponse du Premier ministre
publiée dans le JO Sénat du 05/08/2010 - page 2022
La politique des investissements d'avenir nécessite, pour être comprise de nos concitoyens, une démarche pédagogique. Celle-ci était en particulier nécessaire pour faire comprendre qu'il s'agit, non d'accroître les dépenses courantes, mais d'engager des investissements à long terme profitables à notre pays. Le coup d'envoi de cette communication a été donné avec le passage du projet de loi en conseil des ministres. En outre, le moment choisi a paru opportun parce que, dans un contexte de crise, il permettait de dessiner un horizon et des perspectives, et d'agir ainsi sur la confiance de nos concitoyens dans l'avenir. Enfin, il convient de souligner que, du fait de leur teneur, les thèmes de cette communication n'interféraient en rien avec ceux qui nourrissaient le débat précédant les élections locales.
http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr
vendredi 6 août 2010
PUB d'1 Millions d'euros pour le Grand Emprunt !
A force de naviguer dans des eaux troubles, le bateau France va-t-il totalement dériver vers un régime Pétainiste ?.
07.08.2010
" Le sarkozysme, la droite-extrême et l’extrême-droite "
Cliquez sur ce lien :
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Campagne de publicité sur le grand emprunt
13 ème législature
Question écrite n° 12517 de M. Claude Jeannerot (Doubs - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 18/03/2010 - page 644
M. Claude Jeannerot attire l'attention de M. le Premier ministre au sujet de la campagne de publicité qui a été lancée pour le grand emprunt.
Le 17 février dernier, le Service d'information du Gouvernement (SIG) a indiqué avoir consacré près d'un million d'euros à une vaste campagne de communication dédiée au grand emprunt. Cette campagne gouvernementale largement diffusée dans la presse ne manque pas d'interroger puisque le grand emprunt ne s'adresse pas aux particuliers mais exclusivement aux marchés financiers. Dans ces conditions, quel est l'objet de cette campagne publicitaire dont le coût apparaît choquant en période de crise et d'inexorable alourdissement de la dette de l'État, tandis que les collectivités locales, confrontées à une explosion de la demande sociale et à la non-compensation financière intégrale des transferts de compétences, ont des difficultés à boucler leur budget ? Le Gouvernement ne devrait-il pas s'abstenir d'engager de telles dépenses de communication dans ce contexte de crise? La seconde remarque concerne le moment choisi par le Gouvernement pour communiquer de manière spectaculaire à l'heure où chaque région de France est engagée dans le débat pour l'avenir des territoires. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement sur cet acte de communication pendant la campagne électorale alors que la tradition républicaine l'invite à la réserve.
Réponse du Premier ministre
publiée dans le JO Sénat du 05/08/2010 - page 2022
La politique des investissements d'avenir nécessite, pour être comprise de nos concitoyens, une démarche pédagogique. Celle-ci était en particulier nécessaire pour faire comprendre qu'il s'agit, non d'accroître les dépenses courantes, mais d'engager des investissements à long terme profitables à notre pays. Le coup d'envoi de cette communication a été donné avec le passage du projet de loi en conseil des ministres. En outre, le moment choisi a paru opportun parce que, dans un contexte de crise, il permettait de dessiner un horizon et des perspectives, et d'agir ainsi sur la confiance de nos concitoyens dans l'avenir. Enfin, il convient de souligner que, du fait de leur teneur, les thèmes de cette communication n'interféraient en rien avec ceux qui nourrissaient le débat précédant les élections locales.
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Campagne de publicité sur le grand emprunt
13 ème législature
Question écrite n° 12517 de M. Claude Jeannerot (Doubs - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 18/03/2010 - page 644
M. Claude Jeannerot attire l'attention de M. le Premier ministre au sujet de la campagne de publicité qui a été lancée pour le grand emprunt.
Le 17 février dernier, le Service d'information du Gouvernement (SIG) a indiqué avoir consacré près d'un million d'euros à une vaste campagne de communication dédiée au grand emprunt. Cette campagne gouvernementale largement diffusée dans la presse ne manque pas d'interroger puisque le grand emprunt ne s'adresse pas aux particuliers mais exclusivement aux marchés financiers. Dans ces conditions, quel est l'objet de cette campagne publicitaire dont le coût apparaît choquant en période de crise et d'inexorable alourdissement de la dette de l'État, tandis que les collectivités locales, confrontées à une explosion de la demande sociale et à la non-compensation financière intégrale des transferts de compétences, ont des difficultés à boucler leur budget ? Le Gouvernement ne devrait-il pas s'abstenir d'engager de telles dépenses de communication dans ce contexte de crise? La seconde remarque concerne le moment choisi par le Gouvernement pour communiquer de manière spectaculaire à l'heure où chaque région de France est engagée dans le débat pour l'avenir des territoires. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement sur cet acte de communication pendant la campagne électorale alors que la tradition républicaine l'invite à la réserve.
Réponse du Premier ministre
publiée dans le JO Sénat du 05/08/2010 - page 2022
La politique des investissements d'avenir nécessite, pour être comprise de nos concitoyens, une démarche pédagogique. Celle-ci était en particulier nécessaire pour faire comprendre qu'il s'agit, non d'accroître les dépenses courantes, mais d'engager des investissements à long terme profitables à notre pays. Le coup d'envoi de cette communication a été donné avec le passage du projet de loi en conseil des ministres. En outre, le moment choisi a paru opportun parce que, dans un contexte de crise, il permettait de dessiner un horizon et des perspectives, et d'agir ainsi sur la confiance de nos concitoyens dans l'avenir. Enfin, il convient de souligner que, du fait de leur teneur, les thèmes de cette communication n'interféraient en rien avec ceux qui nourrissaient le débat précédant les élections locales.
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7 commentaires:
Avec l'agrément de l'ensemble des parlementaires ?
« Christian Blanc et Alain Joyandet, qui avaient tous deux démissionné du gouvernement fin juin après des scandales sur leur train de vie, ont retrouvé leurs sièges respectifs à l'Assemblée nationale, apprend-on vendredi 6 août dans le Journal officiel. »
URL source: http://www.rue89.com/2010/08/06/blanc-et-joyandet-de-retour-a-lassemblee-161258
«Emploi : la grande casse de 2009»
la Dépêche.fr du 8 août 2010
«Une année noire. En 2009, l'emploi salarié a reculé de 1,5 % pour atteindre, selon le Pôle Emploi, « un niveau jamais observé depuis l'après guerre ». Durement touchés par la crise, tous les secteurs sont concernés. L'industrie, dans laquelle travaillent 19 % des Français a été le secteur le plus touché, avec 168 200 postes supprimés. La construction, qui créait des emplois depuis onze ans a perdu 43 800 postes. Les services ont connu....
zen-fiatlux
« La garde à vue de l'homme le plus fliqué de France, le nantais Lies Hebbadj, offre (quel hasard !) l'opportunité de nous rebattre à nouveau les oreilles avec sa «polygamie » et sa mise en examen pour fraude aux prestations sociales....» la suite sur Le Post.fr du 9/08/2010 par Bruno Roger-Petit
Commentaire Zen49 :
Pschitt, pschitt..., une affaire trouble où le malaise est perceptible quand on veut se pencher sur l'examen du cas de ce commerçant français, d'origine étrangère.
Le niquab n'étant pas suffisant pour impressionner l'électorat, on se tourne vers la polygamie, alors que ce monsieur ne serait passé qu'une seule fois devant monsieur le maire ?. Il a peut-être des "maîtresses" mais la loi française ne l'interdit pas..., heureusement pour beaucoup de monde, français ou non !.
Nous pouvons détester l'étranger, oui mais lequel, l'Algérien, le Tunisien, le Marocain, l'Africain du centre ou du sud, l'américain du nord ou du sud, les gens des pays de l'Est, d'Asie... ?. En période de grave crise économique, financière et sociale, un gouvernement qui cache ses incapacités à résoudre ses problèmes en faisant la chasse à l'étranger ne pourra être crédible bien longtemps. En France, la justice dispose de toutes les lois pour condamner tous les délits et crimes. Il suffit de les faire respecter et de les appliquer.
Il ne faut absolument pas revenir à l'époque du Front Populaire.
Allez faire un tour du côté de ce lien : " Le sarkozysme, la droite-extrême et l’extrême-droite "
http://chroniquedelhumaniteordinaire.blogs.nouvelobs.com/
Dans "On refait le monde" sur RTL, le journaliste invité du Figaro magazine nous prépare un pays nationaliste, absent de tous repères de notre civilisation française et de notre histoire.
Le débat sur la Nationalité aurait du s'appeler le débat sur l'immigration.
Après le chaos économique et financier, si l'on ne souhaite pas que le pays plonge dans le nationalisme et le mépris de l' étranger, lui qui est responsable du chômage et de la faillite sociale, il faudrait définir qui sont ces étrangers comme l'a écrit zen49. Les déclarations de nos gouvernants sont-ils préparées à l'avance ?. Si c'est le cas, ils leurs faudra armer leurs concitoyens pour affronter une guerre civile.
La crise des liquidités est toujours d'actualité. Rien n'a été réglé et, la spéculation sur les produits agricoles et les matières premières n'a jamais été aussi visible. Les banques prêtent de moins en moins car elles préfèrent consacrer l'argent confié à alimenter le marché international très spéculatif et très juteux.
le Président et son gouvernement sont dépassés par cette mondialisation incontrolable. Ils n'ont qu'une idée en tête "être réélu coûte que coûte", peu importe la manière !!!!.
Serions nous revenus au temps des saints-simoniens et des Ballanche, J. de Maistre et de Bonald, où la religion devait guider les opinions :
«...C'est précisément parce que les modernes législateurs
ont senti ce vide radical de leur législation, qu'ils ont essayé de suppléer au principe
fondamental par des déclarations préliminaires de droits imaginaires et de devoirs
prétendus : véritable manifeste dans la guerre que l'homme déclarait à la nature,
déclarations de droits et de devoirs, qui ôtent à l'honnête homme la force des droits
réels, et au scélérat le frein des devoirs nécessaires ; bavardage niaisement absurde ou
profondément dangereux, dans lequel nous avons vu l'idiot placer une sottise,
persuadé qu'il y posait un principe, et le factieux consacrer un forfait, en persuadant
aux autres qu'il y développait une vérité...»
Sources : L.-A. de Bonald, Théorie du pouvoir politique et religieux (1796) 22
boursicoteur
En matière de communication payée par des fonds publics pour faire de la publicité pour un emprunt, la région pays de la loire n'est pas exempt de reproches.
En effet, pour attirer le prêteur, la majorité socialiste-écologiste sortante a voté un taux supérieur au taux du marché. Non seulement le contribuable devra évidemment payer l'emprunt, mais aussi des intérêts substantiels.
Finie, terminée l'épidémie de grippe AHN1 a dit l'OMS
Zen l'ex- secrétaire de l'UMP 49, retraité de l'éducation, a commenté sur son blog, le milliard de dépenses d'argent public en vaccins, en masques, en Tamiflu, en mobilisation de gymnases et de personnel ?.
La France aura obtenu la médaille d'or de la naïveté en matière de traitement de cette grippe AHAN1 !. Sa compatriote régionale, Roselyne Bachelot,spécialiste en marketing laborantin, elle est bien responsable de ces dérives financières selon le compte-rendu.
L'interprétation de ce rapport par cet UMP-retraité est à la hauteur du discours ressassé par l'Elysée :
" GRIPPE A. Le rapport du Sénat est certes critique avec le gouvernement. Mais il met surtout l’accent sur l’opacité de l’OMS et la pression commerciale exagérée des laboratoires pharmaceutiques, estimant que l’Etat « s’est retrouvé enfermé dans une situation dont il n’a pu sortir que par la résiliation des contrats ». Soulignons au passage que la Ministre de la Santé a limité les dégâts en obtenant des conditions meilleures que certains autre pays dans ses renégociations. De toute façon, on ne refera pas l’histoire. L’application du principe de précaution nécessite qu’il y ait catastrophe pour que les mesures prises soient comprises. Et comme c’est de l’anticipation…"
" Mille sabords !"
Les masques vont servir à nos amis moscovites !
Tamiflu
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