Mercredi après-midi, 14 novembre, avec Marcel, une personne âgée dynamique, nous avons emprunté la ligne du tramway arc-en-ciel dans sa totalité. Ce qui nous a étonné, ce sont les vastes chantiers peu actifs, des friches en attente de constructions ou d'industries et, toutes les nombreuses grues immobiles. Les photos des constructions ont été prises entre le CHU et le centre-bourg d'Avrillé. Nous avons constaté l'absence de commerces et, des appartements habités parcimonieusement. Nous avons été surpris par le peu d'espace laissé entre l'entrée des appartements et l'accès à la voie de circulation des véhicules et du tramway.

Les juteuses opérations immobilières escomptées par les villes d'Angers et d'Avrillé avec l'arrivée de la ligne de tramway, vont-elles se transformées en cauchemard pour les élus et surtout en impôts pour les contribuables angevins ?.

« France : forte chute des ventes de logements neufs au 3e trimestre

Les ventes de logements neufs par les promoteurs ont chuté de 31% au troisième trimestre par rapport à la période correspondante de 2011, a annoncé jeudi la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI)....]
[...Les ventes pour les mois de juillet à septembre 2012 (-31% selon l'observatoire des promoteurs), enregistrent une aggravation de la baisse pour le troisième trimestre consécutif (-23% au premier trimestre, -27% au 3e trimestre"), a souligné la FPI lors d'une conférence de presse....]
[...Durant les 9 premiers mois de l'année, la diminution est de 27% par rapport à la même période de 2011....]
[...Aussi l'année 2012 devrait atteindre le niveau le plus bas depuis 15 ans (62.900 en 1995), très loin du record de l'année 2007 (127.300)....] Sources AFP-Actualités Boursorama
http://t.co/6c4AXyPN

Oh my God, "THE ECONOMIST" promet l'enfer à la FRANCE !

« La France, une "bombe à retardement au cœur de l'Europe" selon "The Economist"

L'hebdomadaire britannique "The Economist" consacre un dossier spécial à la France, dans un numéro à paraître le 17 novembre 2012.

" L'hebdomadaire libéral britannique peint dans son numéro du 17 novembre prochain le portrait d'une France au bord du précipice : économie stagnante, chômage élevé, déficit commercial abyssal, poids de l'Etat "démesuré" et "un climat des affaires qui s'est détérioré". Pourquoi tant de haine ?" BFMTV

L'esprit de curiosité de "The Economist" en serait-il arrivé à vouloir faire peur aux français ?. Nous serions des aveugles et des endormis devant la situation catastrophique de notre pays. Messieurs les anglais, vous avez tiré les premiers en essayant de jouer sur le terrain du terrorisme intellectuel, c'est votre angle d'attaque. A mon tour de dégainer, depuis des années, je me suis échevelé à dénoncer cette dérive de débauche d'emplois territoriaux, de dépenses pharaoniques financées par des émissions d'emprunts régionaux ou par des fonds européens et maintenant, pour certaines collectivités territoriales, par des fonds qataris. En dix ans de monnaie unique et de perte de souveraineté, la France et les régions ont donné l'impression que l'europe servait d'amortisseur à leur folie dépensière et à l'embauche irraisonnée, inutile et incontrôlée. Que faire, quoi dire de plus à des politiques qui veulent avoir toujours raison quand ils ont souvent tort ?. Monsieur (ou Madame) le Chef de rédaction de "The Economist", vous me permettrez de conclure par un vers de la comédie "la Gouvernante" de Nivelle de La Chaussée : "Quand tout le monde à tort, tout le monde à raison".

Tout en mettant en page ce commentaire, ce soir, je regarde France 2 "Complément d'enquêtes" qui traite de la corruption en général, dans l'immobilier, à Marseille, dans le monde politique, dans les marchés publics. Je ne suis pas surpris mais je suis très satisfait qu'une Télévision publique puisse traiter de ce sujet très actuel !.

Le projet de la Télé locale du maire d'Angers va-t-il être validé ?. A titre de contribuable, je souhaite que la réponse soit non, en cette période de récession économique. Quand on voit que les chaînes privées et publiques ont réduit la voilure, faute d'annonceurs et, que les expériences angevines antérieures (TV10-2007, ANGERS 7-2010) ont connu de cuisants échecs