Ne soyez pas surpris de lire en premier, la conclusion de Michel de Poncins ; elle recueille toute mon adhésion !. En France, toute la hiérarchie des pouvoirs politiques, économiques, financiers et sociaux devrait s'inspirer des propos avancés par monsieur Michel de Poncins.
A nos Hautes personnalités politiques et à nos Hommes de loi, si nombreux dans les hautes sphères de la politique française, je leur dédie cette citation de Charles Dumercy (1908) dans les Blasphèmes judiciaires : « La bienveillance est une forme de prévarication »
Au fur et à mesure que les semaines passent, le rideau de fer tombé en 1989, qui séparait les Etats socialistes de l'Europe de l'Est des Etats d'Europe occidentale, va-t-il ressusciter sous la forme d'une dictature des prolétaires de la zone euro ?.
Que faut-il en penser du Qatar, ce minuscule émirat, à peine plus grand qu'un département français qui, via son fonds souverain le Qatar Investment Authority, multiplie ses investissements en France : après le PSG, les Palaces français, ce sont des dizaines de millions déversés dans nos banlieues françaises ?
BFMTV INTERNATIONAL
" ...Evoqué sous le quinquennat Sarkozy puis finalement mis en attente pour cause de campagne présidentielle, le projet est donc validé par le gouvernement Hollande....[...]...Le Canard enchaîné avait révélé en juin que l'émirat finançait les groupes islamistes qui sèment le chaos au Nord du Mali. Le pays aurait aussi joué le rôle de bailleurs de fond pour le printemps arabe."
" En aidant les rebelles tunisiens, le Qatar sait qu’il pourra en retirer des bénéfices économiques. C’est un investissement astucieux sur le long terme", conclut Samir Amghar."
BFMTV International : http://t.co/vEnUqLZ3
" En aidant les rebelles tunisiens, le Qatar sait qu’il pourra en retirer des bénéfices économiques. C’est un investissement astucieux sur le long terme", conclut Samir Amghar."
BFMTV International : http://t.co/vEnUqLZ3
LA RICHESSE POUR TOUS
"En se tirant trois balles dans le pied, le Président impose au peuple français une austérité, présentée par les médias comme inévitable. L'argument récurrent est le partage du fardeau de la crise ! La route inverse serait la richesse pour tous.
Jusqu'ici il est ficelé par la coalition hétéroclite des idéologues et des intérêts apparents de ses amis politiques.
Saura-t-il s'élever au-delà de lui-même pour éviter le naufrage du Titanic ?. C'est la question."
MICHEL de PONCINS
Tocqueville Magazine
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LA CONTRADICTION
Dans la France, telle qu'elle est et qu'on ne voudrait pas qu'elle fût, il y a trois calamités étroitement enchevêtrées et dont le pouvoir se plaint à juste titre : la croissance en déroute évoquée plus haut, le chômage et la paupérisation du pays c'est-à-dire la chute du pouvoir d'achat. Chaque accroissement d'une de ces calamités se répercute sur les autres.
Le pouvoir, par le Tsunami fiscal qu'il déclenche, crée lui-même ces calamités ou les aggrave si elles préexistaient. L'ouragan prévisible serait de plus de 20 milliards, aux dernières nouvelles. L'effet récessif vient d'abord mécaniquement ; le patron d'une PME de vingt personnes n'engage pas un employé de plus si le fisc va le priver du surcroit de bénéfice attendu. Il s'ajoute l'incertitude ; depuis des mois avant l'élection et depuis l'élection, cette incertitude règne comme un nuage menaçant de Tchernobyl ! Elle est l'ennemie de toute croissance.
Pour porter remède à la triple calamité il n'est qu'un seul moyen : proclamer dès demain et sans attendre 2013 le Gel Fiscal Total (GFT). Le GFT revient à supprimer les 20 milliards prévus et peut être davantage ; il doit être annoncé pour une certaine durée. C'est possible par une deuxième loi de finances rectificatives détricotant la première. Le Prince pourrait le faire, ayant exceptionnellement la totalité du pouvoir. En plus de l'effet libératoire immédiat sur l'économie, l'effet psychologique national et international serait immense.
LE CULTE DE LA DEPENSE PUBLIQUE
C'est alors que, non par hasard mais par une implacable logique, nous arrivons au culte de la dépense publique qui agit comme une drogue malfaisante. Le prétexte est vite trouvé : c'est la nécessité de lutter contre le déficit public. Le Tsunami fiscal s'impose alors puisque la drogue interdit les économies nécessaires et possibles. Prétendre diminuer les déficits publics par des impôts est une vraie farce, d'autant plus que l'impôt tue l'impôt.
Il est nécessaire de faire des économies sur une très grande échelle. Celles-ci doivent être immédiates par leurs effets, pour équilibrer en trésorerie les impôts manquants et, même, créer des surplus. Compte tenu de la montagne gigantesque des dépenses publiques la marge de manœuvre est très importante.
LA RICHESSE POUR TOUS
En se tirant trois balles dans le pied, le Président impose au peuple français une austérité, présentée par les médias comme inévitable. L'argument récurrent est le partage du fardeau de la crise ! La route inverse serait la richesse pour tous.
Jusqu'ici il est ficelé par la coalition hétéroclite des idéologues et des intérêts apparents de ses amis politiques.
Saura-t-il s'élever au-delà de lui-même pour éviter le naufrage du Titanic ?. C'est la question.
1 commentaire:
" Qui à dit ceci, à la tribune de l'Assemblée Nationale ?
"J'affirme, que dans la religion musulmane rien ne s'oppose, au point de vue moral, à faire du croyant ou du pratiquant musulman un citoyen français complet. Bien au contraire. Sur l'essentiel, ses préceptes sont les mêmes que ceux de la religion chrétienne, fondement de la civilisation occidentale.
D'autre part, je ne crois pas qu'il existe ...plus de race algérienne qu'il n'existe de race française. Il y a une collectivité que les us et coutumes ancestraux séparent à la fois du monde moderne et de la collectivité d'origine métropolitaine. Aux musulmans, offrons l'entrée et l'intégration dans une France dynamique, dans une France conquérante. Au lieu de leur dire comme nous le faisons maintenant :
"Vous nous coûtez très cher, vous êtes un fardeau, disons leur : nous avons besoin de vous. Vous êtes la jeunesse de la nation. "
réponse :
Extrait du discours du Député Jean-Marie Le Pen à la tribune de l'Assemblée Nationale, le 29 janvier 1958:"
Copier/coller sur la page de Christian Leborgne
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